Ilunga, les poissons, il s’en fish(ait).
Depuis que bwana S. lui avait dit que les perles naissaient au fond des huîtres,
il imaginait en pêcher une dont l’orient ferait se pâmer cette fille rencontrée à la cueillette du miel.
Il espérait la nacre et ne voyait pas les paillettes.
Pauvre Ilunga c’était sur de l’or qu’il était assis.
Très bien écrit et si c’est de toi ça m’énerve. Est-ce que Llunga est un charmeur d’abeilles ? (Alors là si tu trouves le film auquel je fais allusion tu vas m’épater jusqu’à la garde)
Ben oui c’est de moi! non mais!…
Yess elle est énervée
on est deux comme ça, car pour le charmeur d’abeille (!?/0% *???)
ma langue au chat…
Tati en facteur de loin?
Bourvil (la belle abeille a vu ce que jamais abeille n’avait vu… de mémoire)…?
Un Douglas Fairbanks Senior que je ne connaitrais pas?!
ou alors « Bee movie » animation que je n’ai vu qu’en partie!… Je brûle?
…
grrr! (page 123)
Suis énervée donc bien fait pour la page 123 !
En fait je pensais au film « Les beignets de tomate verte » où l’une des héroïnes est une charmeuse d’abeilles.
Quels sont tes auteurs favoris ? Tes textes me font parfois penser à du Somerset Maugham qui se ferait de temps en temps une bouffe avec André Brink et William Boyd ?
1- pour « beignets… » ça me revient, mais « caramba! encore raté » aurait dit le général Alcazar dans Tintin… pour le reste voir le « 2 »
2- (deux donc!) sans ordre de préférence alors,
« Someursite môme » il y a longtemps, sinon Scott Fitzgerald, Ernest H. (les nouvelles dernièrement), Faulkner, Steinbeck, Jerome K. Jerome, Lewis Carol, J. Harrison pour les Anglo-Saxons (mon père était prof d’Anglais d’où, aussi, des gens comme Swinburne, Evelyn Waugh… et Boyd ;°))
et beaucoup de Français, là c’est à la louche et dans le désordre (Allais, Maupassant, Aymé, Céline, J. Renard, Perec, Queneau, Pennac, Cohen, Duras, Jarry, Courteline, Dubillard, Flaubert, Desproges, Topor, Beckett, Jeanson, Rimbaud, Baudelaire, J.P. Manchette,… )
des critiques aussi Georges Didi Hubermann ou je pense aussi à J.L. Godard ou Serge Daney et Bayon…
Dans les étrangers B.Traven, Sepulveda, M. Lowry, Buzzati, G. Marquez, Zorn, Bove, Nabokov, Jorn Riel…
J’en passe et Jean Noublie…
Côté écriture j’aime le basculement vers l’imaginaire et/ou le fantastique des Sud Américains tout en restant fort attaché à la simplicité et à la mécanique de la langue des grands humoristes Français tels qu’Allais et J. Renard en tête ou Marcel Aymé pour sa douceur cruelle et infinie (rejoint de près par Nabokov). Céline est un must en inventivité, chaman du style, logghoréique de la formulation péremptoire.
Respect.
L’humour décalé, du Nord, de Jorn Riel reste un sommet d’humanité!
Et puis n’oublions pas nos références musicales qui sont un puit d’inspiration, je ne vais pas les citer, tu les connais déjà, n’est-il pas?
par delà tout cela il reste le plaisir de conter avec ou sans chute et d’imaginer la tête du lecteur à la fin.
…
Bien le bonjour dans ton Sud Ouest!
(Quand je pense que tout ceci ne me dispense pas de la page 123, ça me fait caguer!
sauf ton respect cette fois!: ).
Mon Dieu, je te hais tellement qu’j’crois qu’j’vais en mourir ! Mais pourquoi je ne sais pas dessiner ????? Et pourquoi toi tu n’es pas illettré, lecteur de Levy ou Auto Plus magazine ? ?? Oh Tamara, oh Morales !
Et en plus je cuisine comme un Dieu!
Mais faites-le taire !!!
Et je repasse mes chemises itou
(bon je sors!).
‘tain, quelle belle écriture j’aime beaucoup ! et le gif, pour un des premiers !!! çà promettait !
@kouki : merc(k)i kouki… pour l’écriture.
Le reste c’est mon métier…;o)