Archive for the 'cinéma' Category

Les tristes sires ! Les gougnafiers ! Les… Les… Les mots me manquent, c’est bien simple !


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Pas plus tard que jeudi,
profitant d’une absence toute légitime…
Rididine voulait faire du shopping,
(ce ne sont pas des choses qui se refusent)
… Et puis elle a une façon de vous dire :
– Mon chéri, je n’ai plus rien à me mettre !…
Si tu ne veux pas me voir courir toute nue, il faudrait…
(Non que cette perspective me dérange,
mais,
c’est qu’il commence à faire froid !)
D’un baiser, j’ai clos son charmant gazouillis,
et nous sommes partis lécher les vitrines…
… Jeudi,
donc,
les bureaux de la rédaction ont été « visités » !
Les pertes sont importantes,
les gredins ont emporté des documents
d’une valeur inestimable et,
non contents de leurs rapines,
se sont permis de poster
(discréditant, par là même, des années de travail)
un infâme billet,
avec des images chiffonnées et vulgaires,
signant leur forfait de mon nom !
Ah ! Les paltoquets !
Les sagouins !
Si je les tenais !
Mon pote Don et moi-même partons à leur poursuite.



.
Avec Don, tout est toujours plus facile.

L’attente de Wispra.


Arrêter les comètes en plein vol.

Retour du futur antérieur.


Bien sûr que vous vous souvenez de ce superbe article dans ces mêmes colonnes
La machine, quoiqu’au point, me donna du fil à retordre
Ce n’est pas le tout de régler sur 3.15O,
il faut encore surveiller bien d’autres trucs
trop longs à vous expliquer ici,
(il faudrait au bas mot une collection complète de Franquin pour vous l’expliquer).

Dans un premier temps, Pluplu et moi, sommes tombés en plein désert…

Puis nous fûmes adorés par de drôle de créatures…

Après de rapides calculs et une réinitialisation de la machine,
nous arrivâmes, enfin, à bon port !

En 3.150.

Vous ne pouvez imaginer comme tout y est paisible ;
J’ai pris quelques photos
pour vous donner une idée de la pension dans laquelle nous sommes descendus.
Ces gens sont tout ce qu’il y a de plus charmant.




Mais je vois l’heure, il faut que je vous laisse,
il y a une grosse réception ce soir en notre honneur.
Je ne sais pas encore si nous allons revenir en 2.011 de sitôt.

Voici l’orbite parcourue durant ce vol dans le temps.

Un drame de l’amer.

Lors d’un voyage en mer que fit Allais Alphonse,
Il se passa ce fait qu’au public je dénonce:
A l’heure de l’absinthe, au mât du perroquet
Comme pour l’étrangler, on l’vit qui s’accrochait.
…………………………………………………………………
…………………………………………………………………(1)
Le lieutenant, qui l’avait vu monter, crie: Stop!
Rassemblant ses trois mousses, leur dit: « Qui est-c’ qui a vu
Allais d’sendre du mât?  »
Et ne purent les trois mousses qu’ s’ taire!

(1). Ces deux vers ont été faits à coups de poing dans le but non dissimulé d’intriguer le lecteur.

SEMBAD LE MALIN
(ALPHONSE ALLAIS: « Le Sourire », 2 février 1901).
.

(Pluplu (à gauche) et moi… Lors d’une petite virée sur l’île de la Tortue).

Il faut vivre avec son siècle…

Ou comment améliorer la mobilité.
.

Mon père m’habitua très tôt et,
.

d’aussi loin que je me souvienne,

j’ai toujours rêvé d’améliorer les moyens de locomotions.

Au début ma petite soeur en fit les frais,

du reste…
Mais plus tard,

Rididine se prêta,
de bonne grâce,
à toutes mes frasques.
Hélas,
après plusieurs « jets de Rididine »,
il fallu bien admettre que,
malgré une poussée virile,
ses battements de bras et de jambes
ne parvenaient pas à la maintenir en vol.

Le vaisseau spatio-temporel
ne voulu jamais décoller…
Cyd ne m’en voulu pas.
Mais ce qu’on s’est amusé !
Vous me connaissez…

Chez General Motor,
la voiture en bois
n’eut pas un très grand écho,
non plus.
Les sots !…
Peut être seraient-ils
encore à flot
à l’heure actuelle !
.

Mon amie Ava m’aida un temps…
Je dois dire que ce mode de propulsion
rencontre encore un vif succès
auprès des petits et des grands…
Brave Ava,
elle me manque vous savez.

La bouée cheval n’eut qu’un temps.
.

Un temps vous dis-je.
.

L’autruche,
animal capricieux par définition,

fut vite abandonnée aussi.
.

Quant au sulky il était intéressant,
mais…
.

L’avion arriva…
.

… C’est alors que je repris tous mes calculs
et me dis…
« Bon sang, mais c’est bien sûr »
(selon la formule consacrée)
Ce qu’il fallait c’étaient des autoroutes dans le ciel !

.

.
Des tas d’autoroutes !

.
Désormais, plus d’embouteillages.

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