Archive for the 'cinéma' Category
Published by luc on mars 29, 2010
under animatin gif, bain, cinéma, collage, correspondance, E'ville fragments, entre parenthèse (...etc.)., hotels, lambeaux, Lubumbashi lambeaux, mouvement, sons, sous l'eau, super 8, vidéos
Hier soir avec ma copine on est allé au nouveau drive-in du coin
voir un documentaire sur Ténériffe…
Ensuite le programme passait une rétrospective
de différents films d’art et d’essai
d’un jeune cinéaste talentueux dont j’oublie le nom.
C’est là qu’elle m’avoua qu’il était son amant depuis six mois déjà.
. . .
« Dard et décès », me dis-je, en l’étranglant.
(Encore un petit conte cruel, court il est vrai ).
Published by luc on mars 17, 2010
under cinéma, correspondance, entre parenthèse (...etc.)., hotels, mouvement, super 8, vidéos
Sa fille et une autre personne étaient là,
il les fit s’approcher et leur confia :
« Je crois bien qu’il y a une histoire d’amour
entre la petite serveuse de la salle
et le grand noir qui fait le ménage. »
et il mourut…
Ce furent les derniers mots de Jacques Tati.
Jusqu’au bout ce grand monsieur ne pensait qu’à raconter.
. . .

(petit clin d’oeil à Kouki ).
Published by luc on mars 16, 2010
under animatin gif, cinéma, correspondance, entre parenthèse (...etc.).


Evelyne l’aimait,
Maryline aussi.
Lui ne savait laquelle choisir.
En chauffant son lait
Albert relativisa.
E égale M, c’est carré, se dit-il.
Published by luc on mars 15, 2010
under cinéma, correspondance, E'ville fragments, entre parenthèse (...etc.)., hotels, lambeaux, mouvement, photos, rapport au sol, sons, végétaux, vidéos

ça s’appelle « Lumière instantanée »
… Petit livre de polaroïds de Tarkovski durant son exil à Paris,
avec quelques maigres images de son fils resté là bas (en Russie ).
Il agrémente ses images de quelques pensées ou textes
qui le guident dans sa recherche cinématographique.
Le rapport avec l’Afrique ?
aucun, sinon certaines lumières
et l’exil.
Published by luc on février 12, 2010
under animatin gif, cinéma, collage, E'ville fragments, entre parenthèse (...etc.)., lambeaux, machines, mouvement
Une fois n’est pas coutume, j’emprunte à Eisenstein le texte qui suit,
qui est toujours d’une actualité criante quant à l’image…

Et après tout:
« Quand je vais chez la fleuriste je n’achète que du lilas… »
disait Georges B.
. . .
La branche de lilas.
. . .

. . .
(silence).
. . .
Ce soir ne ratez pas ce monument
qu’est « Metropolis » dans sa dernière version,
sur Arte … Ultime !
après ça on sait ou Terry Gilliam
et autre moins reluisant Besson
sont allés pêcher des mégapoles mirobolantes
à plusieurs étages
le gigantisme des pièces vides
les foules anonymes et silencieuses
les créatures sensuelles et hypnotiques…
Pauvre Milla (Jovovich)
tu as beau t’exprimer par borborygmes
tu n’as rien d’une Brigitte Helm hurlant son mutisme !…

Mais non « Metropolis » n’est pas de Eisenstein voyons!
mais de Fritz Lang.

Rappelez moi
un jour
de vous faire la poussette qui descend les escaliers…
ça c’est de Eisentein.
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