Archive for the 'cinéma' Category

Marie-Louise.

Comme ses parents ne pouvaient pas l’encadrer
il l’appelèrent Marie-Louise.
Vous voyez le tableau,
je ne dois pas vous faire un dessin.

Je comptais faire un joli billet à ma façon,
vous voyez, ça commençait bien, puis la nouvelle est tombée comme un couperet.
Vous me voyez dégoûté…
Oh oui ! Dégoûté !… Sans rire.
Internet et le virtuel restent une énigme où le 0 et le 1 décident de tout.
Un jour tu vois tout, le lendemain plus rien.
Vous allez me dire :
– Mais de quoi parle-t-il à la fin ?
Je veux vous parler de cette nouvelle tombée, il y a une quinzaine de cela…
Nouvelle qui m’annonçait que l’hébergeur de mes vidéos me remerciait et que dans un mois tout mon matériel serait définitivement perdu.
D’un coup de baguette magique.
Pof !
Tu parles d’une bonne blague !
Ils m’invitent donc à aller me faire voir ailleurs (YouTube ou Viméo en gros…) car eux vont donner dans le feuilleton et les épisodes de films (en gros) et plus de petits artisans dans leur escarcelle.
Soit 180 vidéos qu’ils me fichent à la poubelles ! Des heures de travail, de téléchargement emmagasinées depuis Mars 2009 épivoala !
YouTube, je ne supporte pas ces bandeaux de fin de films où tout et n’importe quoi cohabite dans un joyeux éjaculat d’images… Et Viméo est un peu trop bling-bling, BCBG and c° n’est pas mal mais !
Bon ! Vous m’excuserez, je dois retourner au téléchargement de mes propres vidéos !
J’enrage !
escrime

Donc je recommence : Comme ses parents ne pouvaient pas l’encadrer
il l’appelèrent Marie-Louise.
Vous voyez le tableau,
je ne dois pas vous faire un dessin.

Tôt le matin ou tard dans la journée…

DSC_2757

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De loin comme de près
J’ai photographié
et filmé ton absence.

Vent bis from luc lamy on Vimeo.

To gif or not to gif… That’s the question.

J’entends bien les appels du pied de certains (que je ne citerai pas ;o)
et pour mettre le holà à toute critique,
le blog à luc,
a décidé de frapper un grand coup.
Mais d’abord…
Un petit disque.

hulot

Présent en boucle,
le gif animé comme du temps en conserve
éternel recommencement de l’instant
fut pendant quelques années fort employé entre ces murs.
Las,
tout lasse,
quelques petites difficultés techniques,
les progrès de la science,
l’invention de la roue
la liste des courses
sans oublier toutes les petites trouvailles firent oublier (un peu) cet aspect de la chose.
Les films et leurs montages prirent plus de temps…
Mais, laissons là !
Pour me rattraper de cette petite disette
je vous ai trouvé deux petites mines de bonheur en boîte
que vous découvrirez, avec plaisir, j’espère;.
je vous (re)dirige directement sur les archives en constante évolution de l’un
(plutôt noir et blanc)
et de l’autre
(plutôt couleur):
– En premier lieu Bill Domonkos (fort prisé actuellement sur des blogs tels que la boîte verte etc.)
Bill, très créatif, s’inspire largement de Dada et des collages surréalistes…
Et certains résultats sont étonnants.
– En deuxième lieu nous avons « Tech Noir » qui, lui, donne dans le temps « presque arrêté ».
Cinéphile dans l’âme, le bonhomme analyse et gonfle le temps à l’arrêt à son paroxysme et n’a pas son pareil pour choisir les « petit moments magiques ».

anna K

fleur

Gégé pour les intimes.

gilou c

Un mien ami,
Stéphane pour ne pas le nommer,
me remet en mémoire un vieil article
que je voulais faire sur un monsieur
dont les travaux sont frappés au coin du bon sens.
Gégé pour les intimes,
Gilbert Garcin pour l’état civil
a pris un jour sa pension
et comme tout un chacun
s’est mis au travail.
Il n’est jamais trop tard.
L’homme a parfois de ces lubies !
J’aurais voulu intégrer la vidéo au présent billet, malheureusement viméo est assez chatouilleux…
Il consent à partager sur les réseaux sociaux mais pas sur wordpress…
Comprenne qui pourra, gardons notre bonne humeur légendaire.
Je vous invite, donc, à écouter ce vieux-jeune garçon et son avis sur le pixel, la photo et l’art contemporain.
Et puis… Cet accent !

gilou b

Le caroubier à Noto. (Sicile, juillet 2013).

Caroubier
caroubier a
Caroubier 1

Noto-21.VII.2013.
07h.15′-08h.
2ème approche.
La plume reste le meilleur moyen d’aborder ce sujet.
Hésitations entre une construction pure
de la structure de l’arbre
ou se perdre dans le fouillis de l’information.
Après un début sage,
par le tronc,
bien trop petit,
le panache se construit puis quelques branches l’emportent sur le reste.
Demain j’y retourne.

Caroubier 2
Caroubier 3

Caroubier 4

Noto. 26.VII.2013.
D’abord une structure des branches hautes puis,
redescendant, le reste du tronc se met en place.
Le regard erre de « façon vigilante »(sic)
alternant entre vision d’ensemble et vision rapprochée,
parcellaire par moment.
Tantôt le feuillage,
tantôt les branches
ou le reste du chemin
avec les arbres et l’allée côté gauche.
Balayage de droite à gauche
et de haut en bas, selon,
développer le tout en même temps
gardant toutefois un point d’accrochage
pour le premier regard du spectateur.
Lui laisser un point de départ
pour qu’il vagabonde à son tour
dans l’entrelacs des traits.

Caroubier 5


caroubier a from luc lamy on Vimeo.


Parce que le petit mot à la fin le dit, j’ose retourner la dédicace.

(Les deux textes sont à la suite des dessins,
sur l’impression du matin
après une heure passée
avec cet arbre au milieu de ses frères).

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