Archive for the 'animatin gif' Category

Aloha.


Hier, j’ai reçu ses bons voeux
avec cette carte postale mobile
dont elle seule a le secret.
Le texte dit en substance ceci:
(quoique privé il est tellement adorable
que je ne résiste pas à l’envie de le partager avec vous:
vous saurez vous montrer discrets j’espère).
* * *
… L u c
มันเพื่อย้าย imperceptibly
และแต่งว่า ของ pygmalion มันตั้ง me
ฉันได้อยู่แล้วดังนั้นหนักกับ bisouxxx ของฉันเอง
ทำอย่างไร 2010 bisouxxx
ใหม่ – you ครอบคลุม หรือให้ฉัน sex appeal ไป
signé: Rididine
(avec une écriture improbable… Et mauve).
* * *
Adorable Rididine !
native de Thaïlande,
j’adorais coincer la bulle en sa compagnie
… Elle vivait à Hononuluc lorsque j’y étais
et gazouillait des mots que je ne comprenais pas.
Je lui avais appris toutefois deux phrases en Français
« Tu m’enduis d’huile de jojoba dis ? »
et
« On voit bien la mer d’ici ! »

Miroir Ô mon beau miroir.

Trace l’inégal palindrome…
Ne mord ni la plage ni l’écart.

Et Luc nie ça !
Par ivresse,
tu t’es servi,
rapace inculte.

Un nu né de l’Eden.
مودته تدوم (*)
Tu l’as ici, salut.
. . .
(*): Son amour est éternel.

En quelques lignes…



Vous aurez soin de développer une dramaturgie sobre.

Haïti… Pendant que la terre hoquète encore.

(A chaud).
Entretemps il passe à la téloche pour MSF

Samedi dans la journée
je téléphone au pote
qui m’accompagnait au Congo
en août dernier
-Oui Seb. tu pars demain?… Je peux te filer des vêtements ?…
C’était prévu pour Lukafu et la mission du père Raoul,
mais la goutte d’eau sera plus utile de l’autre côté de l’atlantique.

Peu après cette gamine « affreusement » télégénique passe aux infos
« repérée » par une équipe de télévision Australienne qui l’a entendue sous les décombres
Trois jours avant d’être tirée de là dessous après l’effondrement…
Sans doute aux côtés de ses parents morts.
La télévision se charge de mettre son petit lustre à l’information.

On nous passe aussi les images terribles d’un camion qui décharge décombres et corps…
Info ou intox, il est dit dans le commentaire que les morts ont peu d’importances pour les autorités locales et que le peuple gronde… Les pillages, l’insécurité, la peur palpable des habitants.
La petite a un hoquet sur mon gif à chaque fois qu’ils tombent et retombent encore…


Je ne peux m’empêcher de penser à mon ami qui débarque là dedans
avec mes deux bêtes sacs et d’autres vivres et médicaments
et dont le métier est de sauver des vies.
Je ne peux m’empêcher de penser à cette gamine
et à ce qu’elle a vu du léviathan.
Je ne peux m’empêcher de penser à ces images de la grande guerre
où les pelleteuses charriaient par dizaines,
par centaines,
par milliers ces corps…
D’autres corps,
les même corps.

Sois prudent mon ami.

Chose promise, chose due: même les sourds l’entendent.

Deux commentatrices fidèles dont je tairai les noms,
par soucis de discrétion de ma part
(appelons les Mme M. et Mme Z.)
m’ont apostrophé hier soir sur un sujet (fort) délicat.
Me débiner je ne ferai pas
(ce n’est pas mon genre, c’est bien ça qui me perd)
En quoi consistait la question? me demande-t-on là bas.
et bien voila l’une disait en subtance:
« … Sans rire, Luc, il n’y aurait pas de plus en plus de filles nues sur ce blog ? Cette ségrégation est insupportable. Je réclame des hommes sous la douche, les dents propres et rasés de frais. »
tandis que l’autre renchérissait:
« Je me joins à la requête de « M. »! C’est vrai ça. pensez cher Luc à votre lectorat féminin qui risque de prendre ombrage de toutes ces muses lointaines, chochottes, toussa. Donnez nous à voir une (de vos)épaule (s), un rien, que nous puissions rêver nous aussi.
ce quoi j’ai répondu fort obligeamment:
« @M. & @ Z.:
je m’incline…
Mais des “filles nues” sur le blog, on peut les compter…
Tiens? oui, c’est vrai, mais pas autant que vous le sous entendez, miss…
Allons allons, l’autre fois vous avez eu Charlot avec ses petits pains, et puis monsieur Berquin, et le père Raoul… Et on a parlé de Harvey Keitel (c’était pas bien çà, Harvey Keitel?) et puis la dame a parlé de Clint et vous savez ce que je pense de Grégory Peck et de Paul Newman aussi!
Non mais! que des hommes.
Et pour une fois qu’il y a une fille toute floue derrière de la buée en tout petit dans un cube que même des garçons se sont plaint que ce n’était pas très grand (pauvres François et Depluplu!)…
Bon, c’est vrai que celle qui faisait l’hélicoptère on voyait sa foufoune,
je vous le concède (c’est la première je vous signale: en plus de deux ans d’existence de ce blog je vous trouve bien cavalières mesdames de dire qu’on ne voit plus que çà).
Beau joueur, demain je répare ça: promis;o) »

Pris à mon propre piège je n’ai d’autre alternative que celle de m’exécuter, à présent.
C’est donc à la demande générale
de madame M. de Toulouse
et de madame Z. sous l’arbre,
qui me le réclament à corps et à cris,
ce morceau d’épaule d’homme
de préférence la mienne
(que je ne montre, du reste, qu’à « mes maîtresses et mes docteurs » comme disait l’autre)
que je m’incline et offre un monsieur rasé de frais,
certe ne dégoulinant pas sous la douche,
mais rasé, oui mesdames, rasé de près,
mouillé? détrempé oui!
à la denture chevaline irréprochable
et qui savait chanter l’amour aux femmes
et sous prétexte que ces lieux sont de plus en plus envahis par des « filles nues »
(je cite toujours)…

Alors en voici un premier:
mouillé, rasé et à la dentition i r r é p r o c h a b l e

Ce qui est et reste fascinant chez ce bonhomme
c’est que même les sourds peuvent l’entendre.

Demain, promis, je mettrai une animation du premier homme de France sur son petit canoë,
sur l’air de Henri Salvador; « petit indien s’en allait… »
Souvenez-vous de ces paroles:
Petit indien s’en allait
Sur son joli canoë
Et tout le long il chantait
Ohé
Au rythme de sa pagaie
Voguant vers sa bien aimée
Il avait le cœur si gai
Ohé
Les lianes le caressaient
Et les bambous s’écartaient
Pour laisser son canoë
Passer
Les oiseaux du voisinage
Se disaient dans leur langage
« Prenons bien soin du petit indien »
Oui, mais quand la nuit fut venue,
Dans son nid, chacun disparu
Il fut seul et la lune bleue
Ferma ses yeux
Petit indien sommeillait
Mais par bonheur, une fille
Sur la rivière enchantée
Veillait
Et des poissons argentés
Toute la nuit ont nagé
En guidant son canoë
Léger
Eveillé par un baiser
Il se dit « C’est la rosée »
Mais s’était sa bien aimée
Ohé
L’amour chassant les obstacles
Avait semé les miracles
Sur le chemin du petit indien
Ohé ! Ohé ! Ohé !


Ce sera très joli.
Il paraît que le pouvoir rend beau et que bien des femmes en rêvent la nuit
de ces petits bourrelets à cet homme là!…
Hein?
pardon?…
On me dit dans l’oreillette « des hommes aussi »…
Bon des hommes aussi, soit!
je ne suis pas contrariant.
C’est vrai que le billet d’aujourd’hui, originellement,
était une (jeune) fille nue apparue sous mes mains
en haut d’une fresque fraîchement terminée
mais tant pis, vous avez raison, c’était un peu léger.
A demain donc avec les aventures du petit Nicolas,
vous pourrez en profiter tout le week end;
elle n’est pas belle la vie?

« Page précédentePage suivante »