Archive for the 'moisi' Category
Published by luc on février 16, 2010
under collage, correspondance, entre parenthèse (...etc.)., hotels, lambeaux, Lubumbashi lambeaux, moisi, mouvement, sons, vidéos
Tel Merlin j’ai succombé aux charmes de Viviane,
et depuis ma tour de verre
agé maintenant de cent quarante-treize ans
je cherche où notre histoire a foiré.
« … Je n’ai pas eu vingt amours différentes dans ma vie.
Juste un seul.
Toujours le même, qui recommence à chaque fois.
C’est peut-être cela qu’on appelle la fidélité… »
(J. Lanzmann, parolier ).
Published by luc on février 8, 2010
under animatin gif, bain, correspondance, E'ville fragments, entre parenthèse (...etc.)., hotels, moisi, mouvement, photos, rapport au sol

Je n’arrive plus à remettre la main dessus.
Je l’avais pourtant bien rangée…
Elle était là, à portée de main,
cette image d’un bonheur simple.
Me revient juste une rengaine d’époque
que nous écoutions en boucle,
« … Et que je t’ai cherchée partout
A en boire toute l’eau des rivières, pour voir le fond
Et pour en soulever les pierres… »
comme disait Michel J.

Image au futur simple de ce qui arriva …
Devait arriver.
Published by luc on janvier 17, 2010
under animatin gif, correspondance, E'ville fragments, entre parenthèse (...etc.)., fragments, lambeaux, moisi, mouvement, rapport au sol, vidéos
Published by luc on janvier 13, 2010
under acrylique, animatin gif, chevelure, E'ville fragments, entre parenthèse (...etc.)., lavis, les carnets, livre objet, moisi, rapport au sol, technique mixte, thinner, végétaux


« Elle tenta par des ruses à sa façon
de me détourner de mes recherches.
Que croyez vous qu’il arriva? »
(inconnu, début du XXIème siècle).
…
à partir de cette citation et des documents mis à votre disposition vous développerez le sujet et toutes les conséquences qui en découlèrent.
Published by luc on décembre 8, 2009
under correspondance, dessin, E'ville fragments, entre parenthèse (...etc.)., fragments, insectes, lambeaux, moisi, rapport au sol, végétaux

Heureusement que je ne me suis pas lancé dans la bande dessinée!…
En rangeant et fouilllant mes archives je suis retombé la dessus;
il n’empêche!
inspiré d’une nouvelle de B. Traven tirée du « visiteur du soir »,
titre éponyme, la nouvelle s’intitulait « Macario »…
L’histoire d’un bûcheron (pauvre forcément) qui doit nourrir toute sa petite famille
et dont la femme (belle forcément)
prépare le briquet pour sa longue journée de travail dans la forêt
(touffue et dense forcément)…
Macario y rencontrera un bonhomme maigre et étrange avec qui il partagera son repas car Macario était un homme bon.
… Dernier repas car c’est de la mort dont il s’agit (forcément)

Quelle génie cette Marguerite lorsqu’elle trouva cette phrase… Forcément.
. . .
(Rien à voir: ce soir sur la deuxième chaîne,
vers zéro heure cinquante,
« F comme Fairbanks » avec Patrick Dewaere passe…
Merveilleux acteur et hommage à l’autre « F »
… à voir par curiosité)
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