Après ce déluge il ne resta quasiment plus rien des photos « sauvées » de la boue,
mal entreposées, la pourriture s’empara très vite des sels d’argent pour créer de curieuses arabesques,
autant de strates faisant penser à un paysage dévasté par un cyclone.
Je décidai donc de refaire des photos avec Emma
(à suivre)
En route pour le village où les camarades du super huit vont projeter leurs films.
Un polaroïd couleurs instantanées d’enfants sur le bord de la route
Hilares bien sûr!