Archive for the 'les carnets' Category

Thé hier.

Published by luc on mars 10, 2009 under chevelure, dessin, entre parenthèse (...etc.)., hotels, lambeaux, les carnets, rapport au sol


…Ton thé?… Au lit ou au lait?
… Des fois j’aimerais que tous les jours soient dimanche.

Après tout…

Published by luc on mars 3, 2009 under chevelure, correspondance, dessin, entre parenthèse (...etc.)., les carnets, rapport au sol

Pourquoi toujours des filles?…
Il était pas mal à dessiner aussi!

à la plage de l’étoile.

Published by luc on février 12, 2009 under chevelure, correspondance, dessin, E'ville fragments, entre parenthèse (...etc.)., les carnets, rapport au sol


Pendant que tonton Georges renouvelait ses parades amoureuses, le long des rochers pour ses soeurs, Catherine lisait ce Michon qu’on lui avait offert…
Faut-il le dire, le Houellebecq me tombait des mains, car au menu il y avait ses seins;
je n’avais d’yeux que pour eux.
Tonton tu ratais quelque chose…
Extrait de « La grande beune » de Michon, chez L°ïs.

Buffles à l’eau: mille.

Published by luc on décembre 16, 2008 under correspondance, E'ville fragments, entre parenthèse (...etc.)., les carnets


Aujourd’hui, pas trop le temps,
Ouilde Bill Icoque doit sauver Scarlett (Ô oua-oua) des griffes de son tortionnaire!!!
le vilain se cache dans la montagne…
Quel courage ce Ouilde!
sacré Bill!

à propos; vraies montagnes ou fausses gorges profondes?

Comme une petite incision sur le côté.

Published by luc on novembre 22, 2008 under collage, correspondance, dessin, E'ville fragments, entre parenthèse (...etc.)., lambeaux, les carnets, mouvement, sur le teppaz, technique mixte, thinner, végétaux

Le post d’hier me remet en bouche un petit quelque chose trop souvent oublié,
alors j’ai ressorti cette fleur qui reste parmi mes préférées,
sorte de papillon incarnat attaché aux herbes de bas côté,
sauvage, elle pousse où cela lui plaît.
Ne dit-on pas que son cousin Afghan fait encore tourner les têtes?

« T’as p’t’êtr’ raison ! seul’ment voilà :
Quand j’t’aurai dit, tu comprendras !
La premièr’ fois que je l’ai vue,
Elle dormait, à moitié nue
Dans la lumière de l’été
Au beau milieu d’un champ de blé.
Et sous le corsag’ blanc,
Là où battait son cœur,
Le soleil, gentiment,
Faisait vivre une fleur :
Comme un p’tit coqu’licot, mon âme !
Comme un p’tit coqu’licot. »

(Mouloudji: « comme un p’tit coquelicot… »

« Page précédente — Page suivante »