Archive for the 'mouvement' Category

Inlassablement…

Ou encore
« t’es pas en phase ma fille ! »
(conte semi-cruel ).

Eddy était aux platines
Edith était, Ô platine
hé ! dis ? t’étais aux platines ?
Eddy tétait au plat in.


(biffez les mentions inutiles ).





Au « Bar Clay »,
sur les morceaux ringards du Teppaz
et le plancher de ce sombre caberdouche
vif-argent, dansant
elle subjugait les convives
de son eau vive.
Lui se rêvait écharde;
elle,
toute à la joie de sa liberté retrouvée,
ne se doutait de rien.
Ami,
je te le dis,
célibataire elle ne le resterait pas très longtemps :
Mercure s’en chargerait
et de quelle façon !
« Eddy-les-Platines »
aimait les petites jeunes.
Salaud d’Eddy (de Nantes…)
toujours protestant de sa bonne foi.

Pas de vacances pour lui.

Sa fille et une autre personne étaient là,
il les fit s’approcher et leur confia :
« Je crois bien qu’il y a une histoire d’amour
entre la petite serveuse de la salle
et le grand noir qui fait le ménage. »
et il mourut…
Ce furent les derniers mots de Jacques Tati.
Jusqu’au bout ce grand monsieur ne pensait qu’à raconter.
. . .

(petit clin d’oeil à Kouki ).

En feuilletant Tarkovski…


ça s’appelle « Lumière instantanée »
… Petit livre de polaroïds de Tarkovski durant son exil à Paris,
avec quelques maigres images de son fils resté là bas (en Russie ).

Il agrémente ses images de quelques pensées ou textes
qui le guident dans sa recherche cinématographique.
Le rapport avec l’Afrique ?
aucun, sinon certaines lumières
et l’exil.

As times goes by…


Ou d’autres aventures d’Ilunga que je cultive.
Visiblement certains d’entre vous ont une sympathie marquée pour Ilunga,
je me suis mis à la recherche de quelques billets anciens du début du blog…
Son nom est un prétexte évidemment
Donc voici un peu plus au sujet d’Ilunga :
Son vélo, son ardoise et même à la pêche en immobile ou en animé (au début de ma « folie » des gif’s ).
Sans oublier, bien sûr , sa carrière par la suite
Dans le fond, je l’aime bien,
il ne m’est pas arrivé la même aventure qu’à Chaussois…
Quoique !avec moi, allez savoir…
Ce qui est sûr, c’est qu’ils s’appellent tous « Ilunga« ,
à l’instar de Fassbinder qui les appelait tous Ali…
Il me permet de sonder différentes profondeurs de sentiments…
Putrides ou non.

Eclipse.



Eclipse de stores au fond du miroir de mon café.

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