La pêche.
Mon grand père adorait pêcher
Les indigènes disaient que bwana S. avait le lawa (laoua) c’est à dire qu’il se levait tôt pour trouver le poisson dans la rivière (le tilapia makoki en général) et qu’il avait le jaliwa (un talent un don naturel, presqu’une grâce divine) pour les surprendre.
Surveillant sa ligne je crois savoir qu’aux reflets se mêlait Ondine,
du moins c’est ce que mon cousin me raconta, a demi-mots et en cachette de mes parents.
« … tes cheveux dégoulinant de perles d’eau salée, perles que sur ta peau, d’un baiser je volais, malicieux », c’est Bobby qui l’a dit.
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« La fille du pêcheur »