Archive for the 'bain' Category

Où Nicolas il veut pas qu’on l’embête…

Les enfants s’ennuient le dimanche.
Le dimanche, les enfants s’ennuient.
En knickerbockers ou en robes blanches,
Le dimanche, les enfants s’ennuient.

Vienne vienne
La semaine,
Lundi mardi jeudi,
Car la rue est toujours pleine
De lumière et de bruit!

Que ce soit promenade ou tartine,
Pâtissier pas plus que les bois
N’auront de succès: gamins et gamines
Sont plus tristes que maman ne croit.
refrain
A travers les rues, sans rien dire,
On parcourt la ville sans fin.
Y a que les mannequins qui font des sourires,
Aux vitrines des grands magasins.
refrain
Les parents s’ennuient le dimanche.
Le dimanche, les parents s’ennuient.
Avec leurs lorgnons et leurs barbes blanches,
Le dimanche, les parents s’ennuient.
refrain
(paroles de Charles Trenet)
 »
Ministry of silly walks »

Coup de foudre.


Dans le cockpit du spoutnik, il bouffait ses crasses.
Une lampe clignota; vos stocks de Nic-Nac sont à 15%
inconscient du danger qu’il courait,
(en foutant des miettes partout)
il continuait de lire les aventures de son héroïne favorite.
(les commentaires le laissait pantois.)
Quel micmac se dit-il.
Un morceau infime s’immisça dans la commande du parachute…

Si vous avez l’impression que l’image clignote, consultez un spécialiste.

La noyée.


C’est fou ce qu’on est influencé par des réminiscences.
On oubliera d’autres interprétations…
Et je laisse la parole à Serge.

« Tu t’en vas à la dérive
Sur la rivière du souvenir
Et moi, courant sur la rive,
Je te crie de revenir
Mais, lentement, tu t’éloignes
Et dans ma course éperdue,
Peu à peu, je te regagne
Un peu de terrain perdu.

De temps en temps, tu t’enfonces
Dans le liquide mouvant
Ou bien, frôlant quelques ronces,
Tu hésites et tu m’attends
En te cachant la figure
Dans ta robe retroussée,
De peur que ne te défigurent
Et la honte et les regrets.

Tu n’es plus qu’une pauvre épave,
Chienne crevée au fil de l’eau
Mais je reste ton esclave
Et plonge dans le ruisseau
Quand le souvenir s’arrête
Et l’océan de l’oubli,
Brisant nos cœurs et nos têtes,
A jamais, nous réunit. »

Pour l’original, magnéto Serge, doc. INA.

Restons dans les fleurs: aujourd’hui…


Dansons la capucine
Y a pas de pain chez nous
Y en a chez la voisine
Mais ce n’est pas pour nous
You!!! les petits cailloux
(… Et comprenne qui pourra).

Ô Felli (ni)


Je ne sais pourquoi je pense à ça,
chaque fois que je filme sous l’eau je pense à « la nave va » ou au « Casanova » de Fellini.
La mer déchaînée en plastique (toc!) dans l’un comme dans l’autre sont de purs petits bonheurs tant l’illusion est complète,
ça et la fausse pluie torrentielle sur les bâches m’achève.
Dernière vision d’Ophélie
Peut être n’est-elle pas noyée?
c’était sans doute de l’air pulsé sous l’étendue de plastique?
Sa mort ne serait qu’une illusion?
Je ne sais pas pourquoi je pense à ça.
explication: la mer, explication technique.

« Page précédentePage suivante »