Archive for février, 2008

fin du huit mm.

Écran blanc.
Marche de l’enfant
…une démarche un peu comique de Charlot pas rassuré.
Mère au bord de l’eau, et arrivée de l’enfant/séquence chapeau jaune et jeu avec la terre.
changement de décor
W.E. Chez les Lamerao, Lubudi? KOlwézi? vas savoir!…
Alain, sorte de poil de carotte dégingandé, s’exerce à la botanique, se penche sur des fleurs sans doute des branches basses de flamboyant.
Image de la nounou, (il n’y avait pas d’école gardienne à Kikwit)toute de blanc vêtue, hilare s’éloigne.
Belle.
À quoi donc pensait mon père
quand il filmait la mouquère?
La petite avait 12 ou 13 ans, …et déjà un gros ascendant sur bibi.
Dans ces conditions on parlait Swahili avant le Français.
Et mon père pensait qu’il était à la fin du film

visage biffé….Tous les enfants sont beaux,
celui-ci est un peu barré.
Enquête autour des chutes du film, les morceaux abîmés sont irrécupérables sauf via l’agrandisseur photo

Mercredi 16.X.91-hier, travail toute la journée avec la télé, les choses ont avancé.
Le montage dias a une raison d’être avec le fondu enchaîné.
Les superpositions d’images fonctionnent de temps à autre

eau fait lie; sculpture mouillée.

ophélie

pour son plus grand bonheur, et le mien, elle gardait ses vêtements à la mer, à la piscine ou au bain avant de les quitter…
ça lui venait d’avoir économisé l’eau « en brousse » pendant ses longues recherches sur le Lualaba.

sur le Teppaz; la Fafa song baille Sun Râ and his arkestra

fafa

la chanson des éléphant par Sun Ra and his arkestra

couv.

une fois entendue, on la fredonne.
attention drogue!

et, comme j’ai pitié, en voici une autre de Pascal Comelade pour vous la sortir des oreilles

comelade

la marche; apprentis sage.

illu marche

Écran blanc.
Marche de l’enfant
La petite avait 13 ou 14 ans, …et déjà un gros ascendant.
Et moi…une démarche un peu comique de Charlot pas rassuré.
apprentissage de la marche sur des petits chemins en terre
chaotique petit bonhomme, funambule du caillou, fildefériste de la brindille.
/pareil pour le vélo
plus tard il apprendra à conduire sur des routes faites de nids de poule, relevant plus du jeu de piste que d’un billard de goudron rectiligne
contourner les trous, emprunter les ornières d’un côté, se laisser glisser en première dans la boue de la saison des pluies, surtout lâcher le volant, le tenir à peine
laisser le volant libre, laisser aller, surtout pas de gaz!
vroum-vroum petite voiture, tu n’es plus dans la rigole de la récré.

huit mm.

s8 début

Enquête autour d’un travelingue de rivière, …Le Lualaba sans doute
la perspective du cours d’eau (m’)apparaît pour la première fois, telle qu’elle était,
telle qu’elle est toujours…
Les deux rives apparaissent clairement, l’une en face, très éclairée par une lumière de couchant,
ce doit être une fin de journée, 16h.30 peut être …avant le film aurait brûlé sûrement.
Lumière orangée, un peu rousse…c’est peut être pour cela que Florence (la ville, pas la fille!)m’a fait tellement d’effet la première fois…
L’autre rive, forcément dans l’ombre ménage son contraste à l’horizon, celui ci restant à jamais illisible, noyé qu’il est dans les taches d’acides.
D’abord l’enfant.
Le chien. Pompon.
Le père et l’enfant dans ses bras sous un arbre, puis travelingue rivière.
Bord de l’eau, avec le chien.
Le chien court vers le banc multicolore.
On s’éloigne du banc, jeu avec le chien.
Saute Pompon! saute!
L’enfant joue avec l’étui de la caméra.

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