Archive for juin, 2009

Petits arrangements entre amis…



Entre ces oiseaux qui ne suivent plus les navires
et les thons aimantés par la canne à pêche,
il faudra me trouver autre chose que « mouette comme une carpe »!

Pourquoi s’épuiser?… Garçon! remettez-moi un pastiche.



En effet, je vous le demande, pourquoi s’épuiser à faire le travail quand d’autres le font aussi bien que vous, si pas mieux…
Les miracles de l’inter-nennette m’épateront toujours;
ressource inépuisable de sourire en coin, de clin d’oeil complice et
d’admiration pour la capacité à ré-inventer le réel via la phrase ou l’image.
Chronolog me fait un cadeau-surprise, à mon tour de lui rendre,
modestement, la pareille avec Dean Martin et de lui tirer mon chapeau.

Cher Chrono, au risque de me répéter, ce que tu es doué !

C’est comme ça, monsieur le juge, que tout a commencé…



Pendant que Leslie, ayant quitté ses vêtements,
se baigne, plutôt nue, près de la cascade,
je peste de n’avoir pris de la couleur avec moi,
et me fais une gouache en noir et blanc.
Au modèle je préfére sa robe et ses chaussures,
qui le disputent aux lentilles d’eau…
Laissant là mon ouvrage, je ne tarde, toutefois, pas à la rejoindre.
« Encore un souvenir » se serait exclamé Carmet,
tandis que Jules Renard, voyant ce paysage, aurait dit:
« la femme est un roseau dépensant »…
Mon divorce me coûta bonbon!
* * *
(« Ma mie, ne prenez pas ma complainte au tragique.
Les raisons qui, ce soir, m’ont rendu nostalgique,
Sont les moins nobles des raisons,
Et j’aurais sans nul doute enterré cette histoire
Si, pour renouveler un peu mon répertoire
Je n’avais besoin de chansons. »)

ça, c’est Georges qui le dit.O)

Après le feu de brousse… Sur ces cendres tout recommence


« Quelque part sur la route de Bunkeya… »
devant l’écran d’ordi et sur les commentaires d’Ali
(qui s’y est rendu il y a quelques mois)
nous préparons ce voyage,
fascinés par ces images qui nous attendent…
J’aime le concept de cette fleur, réponse tropicale au perce-neige…
J’avais zappé cette petite astuce de Dame Nature,
à l’image de nos vies.

J’adore ce moment…



C’est le moment où l’ombre rejoint l’oiseau…
Et comment on sait que c’est celle là?
après tout, il y a d’autres avions dans le ciel…
Imaginez un pigeon avec une ombre de biréacteur,
ça le ferait non?

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