La « Hanoï attitude ».
Le vietnamien moyen naît avec un guidon de mobylette dans les main
puis apprend à marcher.
Ce moyen de transport est une seconde nature chez lui…
Il se comporte sur le macadam comme toi sur le trottoir.
Il avance
Toujours
La marche arrière il ne connaît pas.
No rules,
pas de règles,
comme les écossais dans la pub.
Au pire
il s’arrête
et penche sa roue avant gauche
vers la droite…
Mais il ne recule pas.
Quant au trottoir,
c’est clair,
c’est le parking le plus sûr…
Si un type n’y a pas déballé son magasin.
Ça reste un spectacle permanent,
concert de klaxons en tous genre,
sonnettes ridicules et stridentes
tintamarre visant le bruit blanc.
Marrakech, Lubumbashi, Naples et même Palerme n’arrivent pas à la cheville de Hanoï.
À noter qu’il y a la « Hanoï attitude » tenue par les fifilles sur leurs engins.
Les genoux rejoints contre la coque avant,
les pieds écartés et légèrement en dedans,
le dos bien droit avec une très légère cambrure des reins,
les deux mains au guidons,
bras tendus et tête bien droite,
casque, masque et grandes lunettes,
elles vont et viennent,
à toute allure,
comme Seccotine sur sa Vespa,
au bon vieux temps de Spirou et Fantasio.
…
…
Sinon,
rien à voir,
quoique…
Les vidéos se (re)chargent (à allure modérée) sur Viméo, c’est ici que tu peux les trouver.
j’ai bien aimé ce commentaire qui décrit bien la réalité
et un gros merci pour le clic qui m’a permis de voir des vidéos super
y a même sur certaines une musique d’accompagnement; j’adore cette façon de superposer les images
content de retrouver le luc qui avait évéillé ma curiosité
Vimeo gratias, Mystère Luc….
En régime communiste, toilette et hygiène étaient strictes. On ne pouvait pas se déplacer sans laisser-pisser individuel, à chacun la sienne de Vespa, çà a beau « scooter » cher, il faut ce qu’il faut pour quitter la pagode pour la pagaille urbaine. Le trône du paon eut, là bas, une lointaine influence dont l’habitude de faire la roue droite. L’émancipation de la femme leurs appris la roue libre. « Au bon vieux temps de Spirou » les tonkinoises, bien roulées vivaient à la colle avec les militaires en bordée, elles en étaient débordées de les border..les Saïgon-titines Le socialisme démocratique accentua le puritanisme plus puissant au nord qu’au sud.Très à cheval, les filles préservent l’amour dans l’empire du milieu,elles savent freiner, par leur « Hanoï attitude », érotique et pudique les mateurs, amateurs à moteur, ils ne peuvent prendre leur pied, la marche est inconcevable.dans ce pays.Très bien cette motorisation, Il vaut mieux faire de la « trottinette » même sur les trottoirs que tapiner, patiner en scooter , c’est excitant ! C’est peut être , toujours le bordel, dans les rues, mais les anciennes filles à soldats roulent en liberté., elles aiment les beaux engins, bien carrossés, qui les tiennent par l’essence. C’est, pour elles, un changement positif, plutôt que d’être soumises aux rouleurs de mécaniques qu’elles tenaient par l’essence.Elles faisaient casquer, elle se casquent seules… Les vietnamiens eurent tellement maux, tôt, qui les ruinèrent qu’ils méritent bien d’être des motards enragés . Quant au vacarme, ne dîtes pas qu’il vous jappe au nez, ils pourraient se vexer …..Foin de philippiques, même le Général Mac Arthur Field-Marshall philippin n’eut qu’un mobile :Leyte …..
Mais si mais si ça a à voir, avec vous, vos vidéos.
Etonnante, cette peinture au « fil trempé ».
salut Luc!
alex-6 : merc(k)i… Blip m’a vraiment fait un sale coup… viméo est cool… On paye pour ça ;o)))
Mais j’insiste film n’est pas gif
u_u
patrick verroust : Vimeo gratias… MouhaaaaaaaaaahhhHHH !!! Pourquoi je ne l’ai pas faite avant ?… Fort, très fort…. Même Dutronc vous envie je suis sûr !
;o)))
Ambre : v’oui… C’est mon autre métier… ça lui allait bien de dessiner à l’aide de coton trempé… Et gracieux avec ça !
alena : coucou Alena !!! Tu vas ?… Merc(k)i de ces petits détours par ici !
Je suis passé chez Pluplu l’autre jour lui mettre une ‘tite madame a’ec des mizouxxx… ça ne peut pas faire de tort, hein ?
non, ça ne saurait (lui faire du tort). je viens te lire de temps en temps, je ne cause pas toujours mais…