Une faille était apparue…
L’horizon
du levé au couché
était pur.
On venait de loin
pour y admirer,
depuis la pointe,
les couleurs,
la qualité de l’air,
la puissance des vagues d’un côté,
la danse du blé et des champs de l’autre.
La roche,
friable par endroits,
s’était fendillée sans qu’on y prenne garde.
Un matin,
un pan immense s’était détaché du cap,
se fracassant dans l’océan,
Laissant le spectateur pantois.
…
Tu nous manques.
.
(Pour Chantal pour qui j’avais écrit déjà
Les tortues, Théodore Monod, Alain Bombard et moi. ).
joli hommage :l’air, l’eau, la terre , le ciel, tout y est ; à défaut du son
la lecture de ton texte produit le même genre d’émotions
… en tous cas, le Grand Manitou classe cette faille apparue sous Carpe diem … »Luc published under carpe diem… »
Cette ode, il fallut la faire, qu’elle faille l’affaire ,dans un creux de la vague (cette vague sur laquelle les Monod skient) , nul n’en doute et n’a besoin d’être astrologue pour voir le signe du zodiac ….bon (je) pars…Joli ,Luc , plaisir de vous lire!!
J’aime ces images. Du fait de Facebook et de sa page « Le blog à Luc », je ne viens plus guère sur le présent blog.
alex-6 : v’oui, rien n’y manque exsepté que je dois remettre de l’ordre dans mes films et retrouver ce bout là !
la d@me : … C’était Sa devise et le nom de sa société ;o)))
patrick verroust : Merc(k)i de votre fidélité,
sans faille, Patrick 🙂
Francis : le réseau social qui fait oublier les priorités.
;o)