Ce soir…
Bien sûr que ce petit ensemble lui seyait à merveille,
elle ne pourrait assister au bal du gouverneur,
et ferait bonne figure auprès de ces invités si chers à son mari.
« Aux fourneaux ma belle! » lui dit-il, omettant de lui dire que l’étiquette sortait du col.
Pourtant l’étiquette, ce qu’elle s’en fichait! c’était John qu’elle voulait revoir…
Au bal du gouverneur!
pensée volage…
et toi, t’as choisi ta petite robe pour ce soir ? 😉
La nouvelle ultracourte de quelques lignes, peu nombreux sont ceux qui peuvent se vanter de la pratiquer avec art… Comme dirait Dany Boon, « on l’frappe pas mais il mérit’rait)
Maintenant on est forcé de porter un casque pour rouler même en Lambretta…alors je ne me donnerais pas autant de peine pour rendre mes cheveux plus fous et flous. Pero il specchio e bello !
Et puis au bal du gouverneur l’étiquette a grande importance. L’emporter avec soi cousue au col, c’est être sûre de ne pas l’oublier.
@Madame de K.: le petit ensemble fuschia que tu connais, je n’ai plus rien d’autre à me mettre…
@L°:deux réponses au choix
a-(long)
Becket répondait à la question de « libé » sur les écrivains » pourquoi écrivez-vous? »
-Bon qu’à ça.
(là s’arrête la comparaison!°)
« 30 ans dans un mur ou la vie d’une brique » reste le titre de livre fictif que je jalouserai éternellement à Alexandre Breffort.
b-(court)
C’est au pied du F’murr que le génie des Alpages.
@Sylvaine: Vespa que c’est joli?!
@@mbre: un arobase en guise « d’A » t’ira à merveille ce soir.
bon alors ce petit pince-fesses, c’était bien ?
@M@d@me de K.: « voui » dirait L’°tre,
c’est toujours agréable de revoir des têtes d’il y a quinze ou vingt cinq ans…
De vendre aussi. (hé! hé!)
Et simple avec ça, mon cake aux olives et lardons a fait un tabac…
Me connaissant cela ne m’a pas fait autant plaisir que les photos au mur.
Mais comment tu connais Breffort ??????
@L°: par coeur, je le connais par coeur!
les aventures de Rididinne,
Bob le Hotu,
grand père Zig dit « il fait froid, mettez une buche dans le radiateur »,
les mémoires d’un amnésique,
les contes du grand père Zig,
mon taxi et moi,
Irma la douce,
etc.
C’est délicieux! je m’en refais parfois quelques pages.
Le « canard enchaîné » ma chère, j’étais juste en age de le lire lorsqu’il est mort.
(les soirées étaient longues en Afrique, pas de télé, nous lisions chacun notre bouquin de huit à onze et demie!)
Quand il est mort j’étais en chien de fusil, prête pour la grande traversée, ça ne nous rajeunit pas :o)
@L°: …Mais tu es jeune ma parole!
Plus que toi apparemment mais moins que tes modèles :o)
@L°: Valouze!… pas toujours, nous avons de tout en magasin