En l’absence de bayadère tu te contenteras d’elle et des coussins.
En l’absence de modèle
se posant sur les chaises
les coussins
le dossier de la Eames
la Marilyn et les stores
le soleil offre au lieu
des trapèzes de lumière rasante
patchwork de panneaux éclatés,
au sol comme aux murs
puis à la surface du polaroid.
…
Attendre deux minutes
décoller délicatement le négatif du papier
humer la chimie
goûter des yeux
cette légère brillance
avant séchage.
…
La lumière est ton modèle.
En l’absence de bayadère tu te contenteras d’elle
et des coussins.
…
Heureux de vous retrouver, Myster Luc !
Et toujours, votre fibre de photographe poète…l’émotion dans l’émulsion …alchimie des sensations !!!
La lumière chatoie, danse un ballet coloré, magique puisqu’il permet votre retour à petit pas…. la bayadère s’est pendue , elle a rejoint le royaume des ombres …Il reste sa luxuriance et fantasmée lumière qui , encore, réconforte ….Son obsession « Solor…Encore et à jamais … »
Je dirais même plus « la lumière chatoie….. »
patrick verroust : :rougissement :
patrick verroust : Le chamois se prenait pour une bayadère… Où sont mes lunettes ?.. Cette forme, chez vous… Vous ne changez pas !
patrick verroust : chatoyer reste trop sous-employé, je suis bien d’accord avec vous.
coucou !
Luc , votre dernier commentaire est plein de sel…j’aime !
mime : Ah mais kikoo to you too !!!
patrick verroust : N’est-ce-pas ?
Lors d’une ballade, hier, j’ai vu, en pleine lumière, une gitane dansait. Assis sur des coussins, les hommes faisaient rougeoyaient de s gauloises…Je n’ai pas mégoté le plaisir….Aujourd’hui, ils sont partis….Tout fout le camp….
danser ….Je m’inflige une contredanse…