Cette forme d’autoportrait « à deux » chez Denis Roche.
19 juillet 1978. Taxto, Mexique. Hotel Victoria, chambre 80.
Tout est dans le titre,
bien des années après,
je tourne et je retourne ces images,
ce désir de se fondre à/dans l’autre,
de ne faire « qu’un » dans le reflet.
Être à deux seul(s).
Et puis en faisant des petites recherches autour de cet autoportrait, je me souviens de cet article inspiré des entretiens avec Gilles Mora et Denis Roche sur ces quatre images.
Je te laisse avec lui.
…
à lire : La photographie est interminable : entretien avec Gilles Mora / Denis Roche. – Seuil, 2007.
Êtres à eux seuls : magnifique !
Bonjour, Mister Luc !
Ces anniversaires photographiques où le paysage péri et où l’amour et l’art perdurent, sont émouvants.
N’être (naître) que par le reflet de l’autre et ne voir celui ci que comme son propre reflet me laisse à penser qu’il y a quelque chose de barbare à ne vouloir qu’être qu’hun ….Hum !!!
Beaucoup.
la d@me ça m’a frappé aussi.
patrick verroust : pourtant c’est si bon parfois… « Ils » (Elles) nous jalousent parfois.
JJM : merc(k)i
Missié Luc,
Un sentiment d’éternité sans concession jusqu’à la tombe où il faudra en signer une !