… Mais sont-ce des poupées?
Bien sûr que sa copine lui manquait,
elle qui avait insisté auprès de sa mère pour avoir une poupée noire à Noël, afin que leur dînette de l’après midi soit une réussite;
hélas les voisins durent évacuer à la hâte,
laissant quasiment tout derrière eux,
… Et après le pillage de la maison, par les rebelles (selon certains)
par l’armée (non payée depuis des mois) en réalité
un trésor,
elle avait trouvé un trésor,
ce couvercle,
que dis-je ce plateau!…
Qui serait du plus bel effet sur la table.
Peut être qu’Anne reviendrait,
de son pays,
quand les grands n’auraient plus rien à piller…
Et qu’elle pourrait l’inviter dans « sa maison de poupée » à présent.
(pointe sèche et roulette, épreuve d’artiste 1/1)
C’est moche la guerre !
Qu’est-ce que tu veux dire de plus… 🙁
@M de K.: les parents boivent, les enfants trinquent!… tchin’
J’aime beaucoup la boîte…en boule pas si sèche.
Et mettre un peu de douceur dans un massacre n’exile pas le poète.
La tristesse et la révolte sont noires et blanches.
@Syl: « jeux interdits », « le vieil homme et l’enfant », « le kid » et, plus près de nous, « le labyrinthe de Pan » restent des choses, autour de l’enfance, où le monde de l’adulte reste un « aimable décor horrible »…
Pillages, orages, mirages : les expatriés enragent.
Je t’ai déjà dit d’arrêter d’écrire ! Ou alors sois médiocre ! Voire carrément mauvais, là ça me ferait plaisir !
@Clélie: pillage des secrets, orages au loin et mirages, surtout, qui mitraillent les coeurs des enfants pas (très) sages.
@L°: j’peux pô, j’su comm’çô, des comm’ mouê on l’a cassé’l’moule… Est-ce assez médiocre L°? (tu admireras ô passage l’utilisation du « L° » en début et fin, dans deux sens différents… Bien à toi).