Il suffisait d’y penser…
Ou,
comment nous aurions pu sauver
les habitants de Pompéi
au lieu de les laisser
se faire lyophiliser
en plein sommeil
Personne n’y avait jamais pensé auparavant
alors qu’il suffisait de mettre un élastique
(bien attaché)
autour du volcan
pour en amoindrir
tout de suite
les effets dévastateurs ;
champs
cultures
et forêts préservés
villes ou villages
itou
pensons à Naples
ou à Catane
si rudement éprouvées
par le passé.
Avouez !
Il n’en mène pas large
et ne la ramène plus trop.
Il suffisait d’y penser.
Ave Luc ! Veni, vidi, Vesuve….
Luc,
Lecteur assidu de votre blog , je suis surpris que vous n’ayez pas accompagné votre idée fort astucieuse de la photo d’une fresque volcanique…Bon cela aurait fait un peu cliché….Pompéi fut vite oubliée , malgré Pline le Jeune, dans un accord Tacite…Pourtant , des richesses, il y en avait plein les fouilles dans cette cité de bonne Campanie;;;;
Certains habitants réussirent à fuir et se réfugièrent sur les galères de Pline l’Ancien…Les matelots les repérant criaient « Tè vè l’osque ! » expression qui, transformée au cours des siècles, exprime la vélocité…. Les pierres de Pompéi fournissaient les meilleurs meules à huile…Les huiles de haute extraction habitaient de luxueuses villas; les habitats de torchis des gens de basse extraction , laissaient les riches de marbre…
patrick verroust : que n’y ai-je pensé ?
patrick verroust (bis): « L’olive sur la pizza »… Régionalisme qui veut dire « La cerise sur le gâteau ».
:)))