Peut être que…
Peut être qu’il est des êtres condamnés à ne vivre que dans la distance et la correspondance,
peut être que l’épistolaire, de son paravent de papier, entretient, à tort ou à raison, les sentiments,
peut être que le timbre et l’enveloppe oblitèrent le quotidien si mortifère
peut être que le virtuel est pire encore?
peut être que peut être…
Peut être que je sais de quoi je parle…
Peut-être que l’épistolaire virtuel est pire encore…
Fichtre !
Sinon tu veux que je te dise à quoi ton film me fait penser ? (mais le dis pas aux autres, j’ai peur que ce soit futile…) : je vois une sieste par un après-midi de grand soleil derrière des persiennes en bois qui bougent avec le vent de la mer.
@M@d@me de K: fut-il futile, ton commentaire n’en est pas moins frappé au coin du bon sens… je me retourne et rêve de plages et de grèves qui ne sont que de sable sous les pavés… c’est bon, hein?!
En tout cas le timbré et son enveloppe douce comme de la peau très certainement :o)
@L°: comme de l’appeau… pony express poste restante, pas d’indien autour de la diligence, le courrier est arrivé.
Euh… Bon… Pardon pour le dérangement… À plus.
purée de diou! je ne saurai me contenter de virtuel pour ma part! ;0)
mais shhht je vous laisse à vos rêveries de papier doux…
Magnifique! Et tout à fait d’accord avec Madame de K. C’est aussi à une lumière de sieste à travers les persiennes que ça m’a fait penser, maismoije voyais plutôt cela à la campagne. Divergence de réminiscences, j’imagine…
@Christophe Borhen : normal, il y avait de la lumière.
@Pl@neth: le virtuel n’est pas vivable éternellement.
Origami d’avion, de train ou de voiture…
@Ephedr@: campagne d’accord, mais avec piscine alors!
rien ne vaut l’air marin de l’océan toutefois.