A quelques années de distance, échos lointains.
Comme un écot à la terre,
battements telluriques et sourds,
peut être s’entendent-ils
à quarante ans d’écart;
rythme syncopé d’invocation de la pluie
… Manque d’eau dans mon seau.
Comme un écot à la terre,
battements telluriques et sourds,
peut être s’entendent-ils
à quarante ans d’écart;
rythme syncopé d’invocation de la pluie
… Manque d’eau dans mon seau.
« Comme un écot à la terre » : je te l’envie celui-là ! Grrr…
Période marmaillons sur les blogs après Loïs, L…c. J’aime bien le regard rêveur du minot qui tasse son sable en pensant à tout autre chose, mais quoi ?
@L°: à défaut d’avoir ta plume laisse-moi les idées!… Du reste je ne pense pas en être l’inventeur, fit Modeste.
@Zoë: oui, pareil… L’idée de la double image comme des gosses qui seraient à l’étage et la réponse sourde et lointaine m’est venue de là.
Je récidiverai car j’ai la suite des deux séquences…0)
Moi aussi 40 ans après j’aime toujours autant gratouiller dans la terre (= arracher les mauvaises herbes, repiquer, arroser, patouiller). C’est que j’ai su rester très enfant 😉
@madamedekeravel: surtout tu ne bouge pas, deux messieurs habillés en blanc avec une très belle voiture blanche vont venir (ils sont très gentils) et vont t’emmener dans une grande maison blanche aussi, où il y a un trèèèès grand jardin à gratouiller…;0)
A force de regarder cela en boucle, j’entends la voix de Claude Piéplu.
@Chronolog: c’est vrai que ça irait très bien… Que n’y ai-je pensé?
J’ai mis ma robe du dimanche et depuis ce matin j’attends mais personne n’est venu me chercher 🙁
@madamedekeravel: je me renseigne au central ,0)
In love again. (un écho?)
@Mlle d’enfer(t): yesss… toujours l’écho.
Les sons du dessous.