J’en vois un, au fond, qui ne fiche rien… Ou le prestige de l’uniforme.
Je pose une question:
en poupe, le premier porte une casquette et est à l’ombre,
à babord, le second porte un casque et est au soleil,
à tribord, le troisième n’a ni casque ni couvre-chef et est au soleil.
qui c’est y qui va attraper une belle insolation en fin de journée?
…
Barge, non?
…
Les images sont prises sur le Lualaba, rappelez-moi de vous en parler, un jour.
Oui mais…
Celui qui est le plus mal loti emploie une ruse pour ne pas succomber à la chaleur…il s’aère via les aisselles : sa chemisette étant déchirée sous les bras…un moyen de lutter contre l’insolation ? Je préfère y voir cette explication, plutôt qu’un autre signe de « faute à pas d’chance »
Nan, mais lui, il est pas fragile, c’est une force de la nature, sen fout chapeau et ho et ho
Pour moi celui qui est colonial est à tribord
Celui qui trime est à bas-bord
Et celui aux galons hal luc cine….
C’est un CH point de vue à savoir de quel c^^oté on se trouve.
Quand tu dis « barge »…Tu fais référence au type d’embarcation ? ;-))
@zaile: tous les parfums d’Arabie madame!… La scène doit se passer aux alentours de ’54 … Je ne suis même pas à l’ordre du jour… La douceur « Fa » ou le « Mummmmh » existaient-ils déjà que je ne pourrais l’affirmer!:OD
@zoë: c’est vrai ça: les gens du pays passent à travers… à la grâce des Dieux.
@Sylvaine: ah! ces Ch’uisses!…
Il y en avait!…
Et pour paraphraser Fernandel (tu l’auras voulu!): « c’est pas qu’il soit mauvais garçon, mais maintenant… Il a du galon!!! »
Helvétiquement vôtre, très chère…
@tess: bien sûr!… Et pour tout dire, c’est à cause de cette barge (et de ma mère) que vous avez (tous) l’honneur de me lire…
Tout s’est joué là…
Un jour je vous raconterai cette aventure insensée d’une femme blanche dans le Congo des années ’50, qui …
Mais j’en dit trop…
D’abord il faut que je raconte comment tout cela a débuté…
Mais c’est (encore) une autre histoire, disait Rudyard… ;O)
« Tu seras un homme, mon fils. » (voix de ta mère)
@L°: si…