Comme un ikebana…
Entre ciel et terre Shitao n’est pas loin.
Tu semble me dire que les choses sont comme ça
et qu’il ne peut en être autrement.
La balance, signe d’air et de liberté,
me fait présager du contraire…
Tout bruisse de ton absence.
Entre ciel et terre Shitao n’est pas loin.
Tu semble me dire que les choses sont comme ça
et qu’il ne peut en être autrement.
La balance, signe d’air et de liberté,
me fait présager du contraire…
Tout bruisse de ton absence.
Suis passée sur la pointe des pieds…
A cheval sur les deux derniers billets et parce que Loïs m’a fait rouvrir « Papier du Sang » aujourd’hui :
Meutri sur des toiles de lune,
ce peu de couleur fondue en écume
ce trait qui se tait,
ce trait qui le hurle,
L’ange aux pâles paupières
mille nuits qu’il ne dort plus
Je ne commente jamais après Frédérique M.
Moi, je m’balance,
Parmi tous vos désirs,
Vos médisances,
Moi, je m’balance,
Sans adieu ni merci,
Je vous laisserai ici,
Sans adieu ni merci,
Je vous laisserai ici,
Car j’m’en balance,
J’m’en balance,
J’m’en balance,
J’m’en balance…
@Mifa:… La discrète.
@Frédérique:… Il est des jours ou je ferais mieux de ne pas écrire.
@L° @li@s citrouille amère: ta modestie te perdra.
@zoë:… « Rien n’arrive plus dans les bois de Mai… »O)
Jeanne n’est pas loin…
Il y a ici des citrouilles qui se perdent.
Et moi Luc, il y a des jours où je ne devrais pas jouer avec mes photos (tenez-vous bien, j’envisage de mettre des petites vidéos dans un futur plus ou moins proche. Vous serez indulgent ? Ceci dit vous ne pouvez pas être plus indulgent qu’en ce moment, vous ne dites jamais rien)
« animatin gif, chevelure, correspondance, entre parenthèse (…etc.)., insectes, lambeaux, moisi, mouvement, rapport au sol, vidéos, végétaux »
La poésie de tes pages n’a rien à envier à celle de tes mots-clé ! 😉
@Frédérique M: les citrouilles, mais surtout les amères!
internenette est chronophage…
Avec le temps que je passe ici et la lecture des autres blogs, mon indulgence silencieuse est plus un manque de temps et surtout de compétences en la matière…
Si je devais critiquer ou commenter les écrivains sur leur terrain je devrais changer de métier et,surtout, hausser le niveau de ma syntaxe…
Ici, dans mon petit bac à sable je fais des petits châteaux rigolos qui ne prêtent pas à conséquences et qui s’écroulent à la première vague…
Art de « l’effet mère » et de « l’instant damné », je poursuis un travail dont je tire les multiples pistes… On ne raconte jamais mieux que ce qu’on connaît et entrer dans l’univers « des autres » prend du temps, pour peu qu’on s’y intéresse…
chez vous, je fais comme Mifa, sur la pointe des pieds, pour ne pas déranger la salle de lecture.
Je promets de laisser un petit quelque chose… A l’avenir
Mais, ne le prenez pas mal, je reste prudent (tissime!o)
FAIS PéTER TES VIDéOS QUECH’CRITICKQU’ ! ! !
(non, je rigole).
@m@d@me de K.: tu es la première à le remarquer, j’ai déjà rêvé de ne faire un billet rien qu’avec ces mots.O)…. Les grands esprits…
Dès que j’ai le mode d’emploi, je tente la vidéo. Et alors là, miseyre, miseyre, il ne me restera plus qu’à changer de nom et m’exiler dans un igloo… C’est vrai que tous ces vagabondages sont des dévoreurs de temps, je laisserai la porte entrouverte pour que vous puissiez entrer en toute discrétion.
@Frédérique M.: s’il y a de la lumière…