Dimanche c’était groseille chez les Le Quesnoy.
De retour de Kinshasa au matin,
pensez la chance de cueillir,
l’après midi même,
ces petites billes acides au fond du jardin.
* * *
— Pensez à ceux qui n’ont rien à manger…
— Comme ils ont de la chance !
Mais Luc, je vous jure que j’ai jamais couché avec un garçon !
@de Murphy: votre nez s’allonge.
Cette petite groseille est à croquer !
@madame de K: une arsouille, une princesse… Et des yeux (dis, elle en a deux!)
(un jour, j’ai dit à une amie : j’aurais voulu élever mes enfants façon Le Quesnoy, et je crois bien que je l’ai fait façon Groseille…)
Je pointe le bisou ardent…aucune retenue…ah les groseilles piquantes et acidulées…se cueillent si la pelle est à partager.
@Mifa: donc si c’est lundi, c’est ravioli!O)
côté pile et face on est Groseille et on se rêve Le Quesnoy pour la tranche…
@Sylvaine: ardent buisson pour premiers et moi!? et moi!?
j’ai trouvé des mûres, là, plus loin… Tu viens? tu viens?
@ je crois bien que je n’ai jamais cuisiné de raviolis, et jamais refait le même menu… quand je dis que c’était Groseille… c’était plutôt libre-service à pas d’heure… Et Le Quesnoy tenait plus de l’hallucination que du rêve !!! 🙂
@Mifa: rien de tel que le ravioli fait maison… De préférence sans groseilles!