Son grand père: la branche noire de la famille.
Ce monsieur que vous ai présenté avant hier
et qui (se) raconte si bien,
nous parle de son grand père,
celui dont il a pris le nom à la zaïrisation…
Le père de sa mère celle qui, en bonne fille du village et de la paroisse,
rencontra le prêtre et le détourna du chemin de Dieu.
Je vous parle de ça dans les années ’20-’30…
Folles années.
Moderne pour l’époque!
le fils, à passé quatre vingts ans,
oscille entre le noir et le blanc
dans un métissage assumé depuis longtemps
chaque mot parlant une langue vraie,
point de bois dans sa bouche,
tirant les avantages culturels des deux communautés
dans son sang et dans sa tête
sans pour autant ignorer les défauts de chacune
une vraie leçon de tolérance
… D’humanité surtout…
Mais faut quand même pas lui marcher sur les pieds!
. . .
J’ai savouré chacunes de ses paroles et comme
« … Je ne fais voir mes organes procréateurs
A personne, excepté mes femmes et mes docteurs… »
(disait Georges) et que je rechigne à mettre ma tronche en pâture ici
j’ai usé d’un subterfuge, à ma façon,
pour contourner le problème.
Enjoy!
Point de bois dans la bouche de la branche noire ? Je jalouse peu Luc mais quand je jalouse, je jalouse ! Bon je m’en retourne à ma corvée de bois, fait pas chaud!
Tiens, tu repasses tes fringues ?
(qu’est-ce que tu veux que je dise après Lephauste ?)
http://fr.lyrics-copy.com/claude-nougaro/la-langue-de-bois.htm
@Lephauste; habilement amené vous l’avez relevé!…
Ne vous perdez pas en forêt,
je vous connais petit canaillou!
@Anna de Sandre: j’ai deux lessives qui m’attendent… Comment tu sais?
@la dame: je ne connaissais pas…
Hééé oui!
assez en phase le Claude…
Dons d’organes et cannibalisme quel bon ménage docteur !
Quelle idée aussi de lui marcher sur les pieds!
(Ah la belle humanité de l’Afrique! ses famines, ses guerres ethniques, ses quarante millions de morts en moins de 50 ans!) Pardon, pardon! ça m’a échappé!! Qui aime bien châtie bien! Je retire immédiatement!
(Et à l’avenir un petit micro, il en existe de pas très cher qui donne un son tout à fait acceptable.)
Au fait, je t’ordonne (non, je t’intime l’ordre – pour « je t’intime ») de lire Les derniers indiens de Marie-Hélène Lafon. (pas cher sorti chez Folio)
Un indice :
http://www.decitre.fr/gi/63/9782070359363FS.gif
@Depluloin : la dernière fois que j’ai entendu ce proverbe (à la con), il était récité en chœur par les Thénardier, Folcoche, Madame Lepic, la veuve Mac’Miche, Mr Sowerberry et Uriah Heep.
@ Anna de Sandre : Ma mauvaise conscience en bandoulière, je revenais justement sur le lieu du crime. Et j’aime tant l’Afrique et les africains que chaque drame, chaque famine, m’atteint bien au-delà de la simple compassion. Il faut dire que je suis assez vieux pour avoir vécu, j’allais dire en direct, toutes ces secousses, du Congo belge, au Biafra, pour n’en plus pouvoir aujourd’hui. C’est malheureux à dire mais la énième inondation au Philippine ou ailleurs ne parvient pas à me mettre en colère. C’est un sujet que je n’aborderai plus ici – ni ailleurs si possible.
Alors Anna? sans rancune? un p’tit cassoulet pour nous réconcilier?
Et Luc, pardon, n’est-ce pas. Le sujet est brulant et je m’enflamme mal t’à propos…
@Sylvaine: j’aime assez le remplacement par un membre de la famille après avoir bouffé l’autre…
Et tout n’était pas rose sur la route de Zanzibar…
(Juste pour le plaisir d’écrire Zanzibar, c’est magique ce mot là).
@Depluloin: non-non! faites, faites… On ne dira jamais assez.
Pour ce qui est de lui marcher sur les pieds, je prévenais simplement.
Et pour le reste j’ai « volontairement » saturé » au re-filmage pour ne rien en perdre… Mais!… Le f’rai p’u
@Anna de Sandre:… Sinon?
@Anna de Sandre et Depluloin: Je vais faire un petit thé et apporter des petits cakes que je viens juste de sortir du four…
(Pour paraphraser Guitry dans le « mot de Cambronne »
la femme de Cambronne dit (je cite de mémoire)
– Chez les Cambrwonne c’est amiousant comme tout!
si les petites gâteaux secs sont mous,
les rafrwaichissements eux, en rwevanche, sont bouillants!
dit avec la voix de « La » Moreno)
Tout ça pour dire que je pense que nous savons qu’ils savent que nous savons…
Ouvrons une savonnerie.
Terrain glissant et questions à l’infini…
Vous passerez dans mon bureau à la récré.
Heu… M’sieur l’directeur, c’est ce lèche-bottes de Deplu qu’a commencé ! Moi j’ai rien fait, m’sieur, j’vous l’jure ! Vous n’allez pas prév’nir mes parents, hein ? Dites ? Ça l’fait trop pas !
(en aparté)
Deplu, à la récré, t’as un contrat sur ta face !
Et voilà. Ils en ont parlé! Résultat : zizanie, réprimandes, représailles, repriseries enfin toute la gamme.
Bon, moi ce monsieur grand père, j’aurais bien bu un jus de fruits de la passion avec lui.
@Anna de Sandre: tss-tss-tsss!!! d’abord on frappe avant d’entrer…
Et ensuite file à l’infirmerie mettre du mercurochrome sur sur ce genou: tu m’apporteras la nouvelle adresse de tes parents;
(j’ai toujours l’ancienne chez deux Muffins!).
Et laisse Deplu loin de tout ça!
tu sais bien qu’il redouble, cette année,
et que ce n’est pas facile quand on ne mange que du cassoulet
à longueur de temps.
(private joke que 85% de mes lecteurs me pardonneront).
@zoë: bah! ils sont espiègles à cet âge… ça leur passera!
sinon, je vois que la passion est dans le fruit!
serait-on pour le métisssage avant l’heure!?;o)