toujours la pluie
Après ce déluge il ne resta quasiment plus rien des photos « sauvées » de la boue,
mal entreposées, la pourriture s’empara très vite des sels d’argent pour créer de curieuses arabesques,
autant de strates faisant penser à un paysage dévasté par un cyclone.
Je décidai donc de refaire des photos avec Emma
(à suivre)