route de Lubudi
la pluie avait transformé la route en gigantesque patinoire
le ciel le disputait à la terre pour la possession de l’horizon
la pluie avait transformé la route en gigantesque patinoire
le ciel le disputait à la terre pour la possession de l’horizon
C’est très beau. Quelles correspondances…
« oui, moi mes cieux je me les fais à la sueur du poil de brosse et à l’acrylique mouillée, pour être encore plus trempé.
Je ne prends pas un « clic-clac kodak » de nuages en Bretagne moi! »
….
je rigole!
…
vous m’avez fichu la frousse en partant en sucette comme çà.
…
continuons d’être amène, courtois et choisi dans le propos.
…
« m’en vas me retremper dans l’acrylique qui est Thésée à ce con dis! »