Sur un beau bon banc natte qui ne khôl?
Tel Sheeta le singe,
tapi dans les fourrés
je n’avais d’yeux que pour elle
mais n’osais l’aborder
Nat attacha sa natte
(ce bégaiement involontaire me fit sourire)
cool me dis-je
khôl ou pas
je connaîtrai enfin leur couleur.
Découvrez Nat King Cole!
mam’ K. a raison, j’oubliais.
J’adorerais savoir m’enrouler les cheveux comme ça !
Natte qui ne colle,
Nuque qui ne sue.
(ok, je sors)
Mains moites et pieds poites.
(je sors itou, on sera deux en colle).
N’êtes vous pas un peu voyeur ?…
Et elle est où a!ors la musique qui va avec ?
là ! http deux points //www.deezer.com/track/35107
bon il semblerait que j’aie écrit a!ors au lieu de alors, mais finalement c’est pas mal !…
mam’ K.,
ceci est scénarisé!
non mais!
évidemment que c’est mon rôle de vous mettre là où vous ne voulez pas être.
« fenêtre sur cour » ne jouait que là dessus.
(là s’arrête la comparaison avec Alfred.)
…c’est vrai que « a!ors » est pas mal!
…et merci pour Nat, à force de faire du gif et d’en « baver », j’en oublie le principal!
Mon Dieu que la danse de ces mains est belle ! elle s’enlace, je ne m’en lasse pas.
Merci.
Bravo pour le pseudo, et si ça n’en est pas un c’est génial itou! j’irai visiter votre blog un peu plus tard.
Pour ce qui de ceci, il y en a une autre plus loin; cliquer sur chevelure dans les mots clés à droite.
(Publiée le 1er avril, et ce n’est pas un poisson.)
J’avais perdu votre blog, quel imbécile. Je l’ai retrouvé grâce à Loïs de Murphy. Et je ne finis pas de m’émerveiller devant ces chevelures en effet. Pareil : quelques vidéos et tableaux remarquables (http://www.luclamy.net/blog/?attachment_id=555), jamais gâchés par des textes trop longs, toujours soulignés par des impressions sensibles. Beau boulot. Souvent je voudrais faire la même chose.
Je me suis permis un lien depuis mon blog, du coup. J’espère que ça saura vous attirer quelques unes de mes maigres visites.
Enjoy !
merci-merci, et pour le lien et pour votre appréciation,
bientôt d’autres,
toujours en recherche de cet instantané si cher à Degas
mes pas dans les siens
il avait tout compris.