Paul a cassé sa pipe
ou quand l’image se fige et que le son met fin au récit,
…éternellement figés dans leurs rêves d’ailleurs et de futur, « Butch Cassidy et le Kid » est une des plus belle fin de film qui soit…
avec « Brazil » toutefois, donnant lieu, lui aussi, à une double interprétation.
Au micro panthéon filmographique
« La chatte sur un toit brûlant » et « The hustler » (première version) restent des petits bijoux de cinoche, sans parler de « Luke la main froide » ou du « gaucher » avec un dialogue de fin qui dit: « He went for an empty holster ».
So long mister…
Je viens de lire …tu m’as juste anticipé…
http://www.sylvainevaucher.com/Stars.html
Bon Dimanche au Soleil !
hé! hé!… ma ruse de coyote et mon arme à six coups!
N’empêche que c’est bien triste….Glas et Tocsin.
Et avec un mauvais jeu de mots …l’autre cancer c’est la charogne qui reste.
Chouette article dans libé » du jour d’hui, six pages moyennement tassées.
M°che, sinon!
(…)“Butch Cassidy et le Kid” est une des plus belle fin de film qui soit… » Oh oui, comme elle m’avait happé, cette fin, comme elle m’avait laissé moi aussi sur le carreau sous les balles, comme elle m’a oblitéré, ponctué de souvenirs qui toujours m’y ramenaient. Je crois que c’est la première fois que j’ai remarqué à quel point l’écriture était importante dans un film, et même dans un récit quel qu’il soit. Ces dernières minutes immobiles sous le déchirement des coups de feu reste pour moi parmi les stigmates du beau.
C’est ce jour-là, le jour où j’ai rencontré cette fin que j’ai voulu être Paul Newman.
Mais vous êtes Paul Newman, Yves, j’en suis sûr maintenant!
(Et merci du com. qui décrit exactement le ressenti de la première vision de la chose en son temps.)… ça et les leçons d’Espagnol pour braquer les banques, etc.
bref existe en « dvd-qui-ne-se-prête-pas-ou-plus.