Ici, on fait tout à la main, monsieur.
…
Le contrat serait simple,
comme d’habitude,
secouer,
un peu,
le mauvais payeur…
Lui faire cracher ses biffetons et se casser en douce,
ni vu, ni connu.
En attendant son contact
il avait commandé son bacon and eggs,
en noir et blanc…
comme si le temps était resté suspendu.
.
.
La mère de Wispra se disait que sa fille devrait,
un jour,
faire un reportage sur ce curieux bonhomme
d’un autre temps,
d’une autre époque.
La sienne, quoi !
Ah, Robert !
Ce qu’il était beau.
Elle gardait ce petit secret,
tout au fond…
Tout au fond.
…
Chers lecteurs du blog à Luc, pardon pour ce long silence… Dans les jours à venir vous aurez toutes les explications… Que d’aventures ! Que d’équipées !… Je, je… Non, rien, plus tard.
Ah ! C’était un le bon temps hein. Un vrai métier, l’argent facile, les rididines derrière le comptoir… l’assurance-vitrine, l’assurance-mobilier, l’assurance-vie… eh oui…
(Tu t’es vraiment frotté aux indigènes dis donc. Celui du haut, le chétif là…)
Très belle histoire, beau texte, oui, oui. (Il n’y a que les virgules qui me chiffonnent parfois mais pour ce que j’y connais…)
Ah, une femme avec un métier dans ton texte. Yep !
Question efficacité, faire franchir l’huis sied mieux qu’un papier bleu…Parfois un barbeau vaut mieux qu’un bobard! La mère de Wispra garde des rêves de comptoir. Ah, les roberts, les amiches!
I want to wake up, in a city that never sleeps
Je veux me réveiller, dans la ville qui ne dort jamais
And find I’m king of the hill
Et constater que je suis le roi de la colline
Top of the heap
Au sommet de l’échelle
Hhhaaaa Robeeert !…
Dis-donc, t’as visité que des cafés quand t’étais à Nouillorque ?
ça ressemble à un début de polar, il a une tête qui ne me rappelle pas quelqu’un
on attend la suite de cette brève de comptoir
content de te retrouver
Depluloin : des virgules ? oussa ?… Oui mon p’tit gars, pour la tenue de ce blog on ne recule devant rien… Se mélanger à l’indigène reste un exercice périlleux.
u_u
Anna de Sandre : j’en ai trouvé une !… J’ai tout de suite pensé à toi.
patrick verroust : (b)rêves de comptoirs… Où l’argent facile coulait à flot et les armes étaient non prohibées… Le bon temps, quoi !
Neuve York, sir : dites donc… Je ne vous pas déjà vu (ou entendu) sur des planches, vous ?
madame de K : on lui ramène Bob à sa porte (au risque de sa vie)… Et voila tout ce qui la tracasse… La visite des cafés !…. Non, beaucoup de boîte de stript… Non, rien… Surtout des musées !!! ça oui !
* on est un blog culturel ou pas, comme je dis toujours *
alex : moi aukki j’attends la suite… Tu crois que Capone (Al) va débarquer ?
Rrrroooh ! J’ai hâte de le savoir !