Les petites ondes.
Dans le livre ils expliquaient qu’une goutte de camphre suffit à faire tourner la petite danseuse pendant la journée…
évidemment j’ai essayé le petit hors bord avant de me rendre à l’évidence que l’un et l’autre étaient liés.
Une fois rencontrée, j’optais pour la danseuse, elle me dit s’appeler Rita et adorer les miroirs et les gants.
« Just call me Orson » lui dis-je sans ambages
Je mis le camphre de côté (on ne sait jamais!) et nous fîmes un pas de deux.
De mémoire de cygne, il n’y eut jamais de plus beaux mélanges d’ondes que cet après-midi là…
« The lady from Shangaï »
…
Gilda »
OHHHHHHHHHHHHH Luc ton Tschai….Kov Sky….
Je ne sais ce qui me fait le plus glisser…du camphre ou du pas de deux.
PS : pour le haut de gamme….
http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=200001&sid=7657599
Tes sources me sidèrent toujours!
camphre donné devient art!
mélange d’ondes ? c’est chaud !…
Demain la valse des ondes.
Tu connais bien sûr le petit soldat de plomb de Hoffmann? Celui qui n’a qu’une jambe et tombe amoureux d’une jolie danseuse en carton? Il y a un truc féerique dans l’air là….
@aléna : ben oui !… Je connais plein d’autres histoires tristes aussi ;o)
[…] de géographie. . Vive le vent! . Trois états. . Datura; demain je me lance dans la couture. . Les petites ondes. […]
Ah ba moi avec une seule goutte de mes têtards, je repeuple le monde! D’accord, je fous le camphre! Mouaaaaaaaahhh!!!
@Depluloin : un peu de tenue voyons !!! « un -e seuule goutte de mes tétards… » Qué vantard !
wow
Voilà !