Si je ne me trompe…
A propos de ma fortune
il faut que vous fasse un aveu ;
celle-ci provient d’une invention
que je fis fortuitement en 1937
(mi-juillet si mes souvenirs sont bons).
Mais je vous raconte d’abord la genèse de la chose.
Rididine était partie à la plage
avec les enfants
préférant me baigner plus tard,
j’étais au jardin
appliqué à mettre au point une forme de porte-voix
pour parler, en direct, aux Martiens.
(après tout ces gens cherchaient sans doute à nous communiquer quelque chose ?)
Las de ne rien entendre en retour,
je partis acheter des bonbons pour la gorge à la pharmacie…
(après tout l’engin n’avait peut-être pas la portée nécessaire escomptée et ça ne servait à rien de m’égosiller de la sorte).
C’est alors que j’eus l’idée géniale
(je dois l’écrire)
d’appliquer deux tuyaux
à chacun de mes cônes et
ô miracle !
J’entendis la mer
(sans l’aide d’un coquillage).
Bien sûr l’océan était proche
mais !
Le système fonctionnait à merveille !
(après tout le système inversé de l’amplification qui en diminuant rendait audible le moindre murmure augmentant ainsi sa capacité de perception… Vous me suivez ?)
A partir de ce moment là,
par delà le bruit des vagues,
les Martiens se manifestèrent
de façon très claire
(je me dois de le dire)
et je compris qu’ils voulaient faire commerce de barres chocolatées
(dont je tairai le nom, pas de pub ici)…
Rendez-vous fut pris,
fifty-fifty
à moi les royalties
et aujourd’hui encore…
Bref ! Je suis rentier.
Je vendis, aussi, mon invention aux magasins de souvenirs de la côte
et chose comique, si l’on veut,
l’armée, l’espionnage et le contre-espionnage
en firent un usage intensif.
C’était drôle de voir ces officiers
et les agents t(r)oubles,
toutes nations confondues,
se rendre incognito au littoral
pour acheter le précieux engin
peu discret,
il est vrai,
mais ô combien efficace.
.
.
.
Dans les grandes villes,
en effet,
lorsque l’hiver se fait long
et que le printemps tarde à venir
on en a souvent recours
à ce grossier subterfuge,
de se poser son oreille
au creux d’un coquillage…
Il faut avouer qu’à côté…
Non, rien.
Prem’s !
c’est tout.
Du chocolat ? C’est toi le fameux chocolat Pouluc ? Et la fameuse pâte à tartiner Nutécluc? Euh… suis un gêné en ce moment… hu ! hu !
(Très beau billet, toussa, un sens du grand reportage, toussa.)
… et Marcoliluc et Léoliluc , un vrai bizness de boss !
Il conviendrait de décorer cette paire de cônes à tuyaux, d’un joli noeud de bodluc..euh de bolduc. Je te laisse le choix de la couleur!
Superbe invention, très efficace en foret , places ton installation au cœur des bois dont on fait les flutes , tu laisses les cônes y faire, tu verras, et non pas verrat, les petits hommes verts rater leurs atterrissages et casser du bois. Pour eux çà sentira le sapin. C’est triste à en avoir la larme à l’œil ! mais tu as une chance de faire la connaissance d’une vénus à la fourrure hottentique, on n’est pas de bois ! Une dernière spirouette, il se raconte que les martiens voudraient te téléphoner sous le nom de code « Mars supplie Lamy ». A bon entendeur ,Salut!
« Mars supplie Lamy » … respects, Patrick … ;D
voilà donc l’engin avec quoi jeanne et bernadette ont entendu des voix impénétrables! j’en ai le trombinoscope tout défrisé
la d@me : vindjeu ! La d@me ! Trop fort !
Depluloin : faut parler plus fort dans le trucmuche… Kesse tu dis ?
la d@me : je vois que j’ai à faire à une connaisseuse ! ;o)))
Babeth : le bolduc ! u_u
Quel joli mot tout de même !
Il a toujours la faculté de me mettre dans des états ;o)))
patrick verroust : tout jeu de mot sur le patronyme sera sévèrement sanctionné !… Il est dit à l’alinéa 57 bis, 4ème ligne… Qu’il faudra ouvrir un blog.
la d@me : parfaitement d’accord ;o))))
alex : du moment que ce n’est que le trombinoscope… Passke c’est un blog bien, ici u_u
Avec ces trompettes, t’es sûr de ta renommée.
:o) ^^…… tu vois…….ce que je veux dire…..
Pas mécontente d’avoir retrouvé ce blog-beau et la jolie fantaisie de Mr Luc-Lucius…! ^^
Bises !
Zoë Lucider : je pense aussi… C’est une très bonne affaire, je crois !
Silvanie dite Sylvaine : ben oui u_u
Romi : (re) bienvenue alors… Vous étiez passée où ?