Traductions de m…. Ou l’éclectisme de la sérendipité.

L’autre jour,
comme à mon habitude je zappe sur internenette,
à la recherche d’images belles ou insolites…
Des fois tu te demandes où je vais les trouver ?
Donc par hasard,
poursuivant une recherche d’auteur-photographe,
je tombe là dessus…
Et me voilà à chiner,
si je puis dire,
sur Walkingwounded.Emergency

Duley-Emergency-10
Duley-Emergency-15
Belles images un peu tristes…
Photo-reportage au plus près de l’humain,
beau noir et blanc, belle compo, toussa
aurait dit Pluplu…
Puis, un peu plus loin,
une autre recherche me fait tomber sur d’autres images…
Je ne connaissais pas Beatriz Veliz Argueta jusqu’à présent !
J’explore donc.
béatriz véliz argueta va07
bva01

bva02
Et pour finir,
Toujours au hasard…
Je tombe sur ça :
un site sur les lagons au Colorado
lagoon_olympics

lagoon_sailboat

lagoon_swimmers

Merveilleux outil du XXIème siècle mettant tout et n’importe quoi à portée de souris, rendant la planète comme un mouchoir de poche, faisant un méli-mélo des époques, éclectisme de la sérendipité
Quand soudain ! (comme disent mes camarades sur facebook)
poursuivant mes recherches,
me voilà de tomber sur une image
que je ne connaissais pas,
d’ELLE.
Le texte disait (simplement) ceci:
(Мария Каллас с мужем Джованни Баттистой

На момент знакомства Каллас с Онассисом он уже был сказочно богат. Все, в чем он нуждался, это слава — и роман со знаменитой певицей Каллас был его билетом в богемный мир. Для Марии это была любовь с первого взгляда, с первой встречи, когда Онассис пригласил ее и ее мужа на свою яхту «Кристина», похожую на роскошный плавучий пятиэтажный дворец. Мария развелась с мужем, а жена Онассиса — забрала детей и уехала из дома. Но, увы, Онассис вовсе не спешил разводиться с женой и жениться на Каллас — это было невыгодно для бизнеса. Измученная Мария продолжала мечтать о свадьбе с Аристотелем несколько лет. У нее начал пропадать голос. После очередного провала Онассис в пылу ссоры бросил Каллас: «Ты — ничтожество». Но она продолжала верить в их любовь и тогда, когда Онассис стал ухаживать за Жаклин Кеннеди. И даже после женитьбы Онассиса на Жаклин она не могла ему отказать и продолжала принимать в своем доме.)
Soit !
Évidemment, mon sang ne fait qu’un tour…
Avec qui me trompait-elle à l’époque ?…
Google traduction va certainement m’éclairer… ,
Je pose mon texte…
La fenêtre me dit « langue détectée : russe »
je tape de façon fébrile sur
-« traduire »…
Et voilà !

фото-Мария-Каллас-2


Maria Kallas avec muzhem Giovanni Battistoy
Pour le moment znakomstva Kallas avec Onassisom sur uzhe bыl skazochno riche . Toutefois, Cem sur nuzhdalsya , эto gloire – et un roman célébrités co pevitsey Kallas bыl ego biletom bogemnыy en paix . Dlya Marys эto bыla lyubovy avec pervogo VIEW avec Pervolia vstrechi , kogda Onassis carillon EE et EE muzha de svoyu yahtu  » Christina  » , pohozhuyu de roskoshnыy plavuchiy pyatiэtazhnыy Palace. Maria razvelasy avec muzhem et femme Onassisa – Interdiction et Wehani enfants hors de la maison . Mais uvы , Onassis vovse pas couché avec une femme et razvoditysya zhenitysya de Kallas – эto bыlo nevыgodno dlya entreprise . Izmuchennaya Maria prodolzhala mechtaty o svadybe avec Aristotelem neskolyko Chron . U Nah du propadaty initiale Golos . Puis ocherednogo échec Onassis en Bros Kallas pыlu :  » Tы – nichtozhestvo .  » Mais Ona prodolzhala vérité dans gee lyubovy et togda , kogda Onassis Jacqueline Stahl uhazhivaty pour Kennedi . Et même alors zhenitybы Onassisa Jacqueline Ona ne pouvait otkazaty d’émeu et prodolzhala prinimaty dans le domaine de svoem .

Il faut bien avouer que c’est une traduction de m…., non ?

Approchez mesdames & messieurs, ça va commencer, sur le ventre et sur dos, roulez jeunesse !… Venez vous faire le grand frisson à l’intérieur de notre chapiteau !

A-triple-summersalt

Autour du sujet,
sur The circus blog une mine inépuisable d’images
en tous genres,
vous attend…
Quel vrai plaisir que
de humer la sciure,
sentir le froid du métal des cages,
le claquement du fouet,
de se balader parmi les panthères,
les lions,
les éléphants…
De monter à des hauteurs vertigineuses
pour taquiner les nuages
ou la toile du toit du chapiteau !
Les trapézistes
et leurs drôle de Tancarville…
Comment ça ?
Qui a dit  » d’un autre temps » ?
J’ai entendu « barbarie » aussi…
Oui, c’est vrai, je m’emporte, je m’emporte et ce n’est pas bien…
Le cirque de papa c’est terminé !
Plus d’animaux dressés et maltraités,
plus de clowns tristes qui font rire.
Juste quelques puces savantes et invisibles
et de la poésie…
Moi j’vous l’dis,
mon bon monsieur…
Tout fiche le camp !
Tiens… J’en ai mis quelques-unes
pour te montrer
les petites merveilles de ce blog.
(tu cliques et agrandi chaque image ‘videmment).

Capt-Eddie-12

Capt-Eddie-21

Capt-Eddie-31
Clyde-and-Friend1928

Doc-Capell-the-Vent

Ericksons-Siebrand

Flying-Siecrist-s-4-Maybe

Flying-Siecrists-3

Flying-Siecrists-@2

Flying-Siecrrist-1

Leon-Eleanas-Danes

May-Kovar

Payo-Mai mono

Royal-Rockets1

The-Haslevs

The-Martells-Mignon

Sacré William Weightman !

Au gré de mes pérégrinations internenetiennes je suis tombé sur cette lettre rébus que je livre, sans tarder, à votre attention.

lettre rébus

Ici aussi, la traduction google est fascinante… Mais elle aide tout de même à déchiffrer certains idéogrammes.

Ma très chère Fanny,

Je t’écris ces quelques lignes pour te dire que je ne peux pas vivre plus longtemps sans toi. Je n’ai de cesse de t’adorer. Pour moi tu es une beauté, et la plus gentille fille que j’aie jamais vue et je t’adore. Oh exquise Fanny, ne me méprise pas de tant t’aimer. J’aurai le cœur brisé si tu m’abandonnes. Peux-tu me retrouver lundi soir, quand je t’emmènerai au Star Music Hall. Je hais ce Bill Robinson, qui te court toujours après et j’ai l’intention de le cravacher quand je le verrai. Je serai ravi de recevoir de tes nouvelles sans tarder. Ne laisse pas ma demande en suspens. Réponds par la poste suivante à ton tendre
William Weightman.

My Dearest Fanny,

Je vous écris ces quelques lignes pour vous dire que je ne peux pas vivre plus longtemps sans vous. Je vous adore toujours. Je pense que vous êtes une beauté et la jeune fille plus belle que j’ai jamais vu et je vous adore. Oh exquise Fanny, ne me méprise pas pour vous aimer si bien. Je serai le cœur brisé si vous m’abandonnez. Pouvez-vous me rencontrer, lundi soir, quand je vais vous prendre au Music Hall étoile. Je déteste que Bill Robinson, qui est suspendu après que vous et j’ai l’intention de lui cravacher quand je le vois. Je serai ravi de vous entendre à la fois. Ne laissez pas mon costume soit stérile. Réponse prochain post pour

votre amour

William Weightman

Sulky ça va tomber ?

Il faut rendre à César ce qui lui appartient : comme le dit si bien Wikipédia… Le sulky (mot anglais qui signifie maussade, boudeur, parce qu’il est conçu pour une personne seule) est une voiture hippomobile d’origine américaine, à deux roues, avec un seul siège. Le sulky est léger, solide, conçu pour les trajets rapides et surtout les courses de trotteurs.
Personnellement je me suis dit que « hippomobile » pouvait être pris à la racine et au premier sens du terme ; comme dans mon jardin j’ai la chance de posséder deux splendides ongulés dignes représentants de la race du cheval géant du fleuve…
Le sulk’hipo est né !
Ainsi, il est aux champs de courses et autres manèges ce que Oulipo était à la littérature.
Pour peu que vous l’asticotiez avec une carotte ou de la salade… Il se met à trotter de façon gracieuse et sans accoups.
Rididine ADORE !
Je vous joins deux photos d’elle et de moi-même :
j’y retourne.


CWI-1137-1
hipopo

Pareils à des titans !

La bataille avait fait rage
c’est alors qu’une lutte sans merci
s’engagea
entre les chefs
des deux clans.
Ceux-ci,
dans un élan de générosité
et pour épargner des vies,
avaient décidé de combattre au nom des leurs.
Dans un fracas de casques à cornes
et de cuirasses
les corps s’entrechoquaient:
tous pores dilatés,
la peau ruisselant de sueur
et de poussière au sang mêlé,
glissait
faisant dévier les prises:
les armures déformées
par les différents coups
d’estoc et de taille
témoignaient de la rudesse du choc
pour faire plier
et rendre gorge à l’adversaire :
Encouragés par leur clan
ils redoublaient d’ardeur.
Chacun pesait de tout son poids
sur l’autre
tentant de le renverser.
Le combat continua toute la journée et,
où que vous vous trouviez
à la nuit tombante,
vous entendiez encore
la clameur des tribus
encourageant leur héros
dans cette lutte fratricide
hors du commun.
Lassés d’attendre l’issue
certains partirent se coucher
d’autres restèrent.
Les vieux disent que le combat se termina fort tard
au lever du jour.
.
.
.
.
.
Faut que j’aille voir ça,
ce matin,
après mon café.

.
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.
Cela me rappelle une vieille blague… Celle de l’escargot qui passe en dessous d’une clôture et toisant le taureau qui l’observe lui dit d’un air entendu :
– Nous autres, bêtes à cornes…
Bon ! Elle ne te fait pas rire ?

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