Miroir, ô mon beau miroir…
à une faïence pareille, niveau réflection, Nadia aurait fait passer une psyché, des années ’30, pour une aimable plaisanterie.
N’ayant pas un physique avantageux, lucide, elle se demandait si son amant lui était plus attaché pour l’image qu’elle lui donnait, au travers de cet épiderme unique, plutôt que pour cet héritage de vieille souche Austro-Hongroise…
Pendant qu’il s’y mirait, Nadia réfléchissait.