Sacré William Weightman !
Au gré de mes pérégrinations internenetiennes je suis tombé sur cette lettre rébus que je livre, sans tarder, à votre attention.
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Ici aussi, la traduction google est fascinante… Mais elle aide tout de même à déchiffrer certains idéogrammes.
Ma très chère Fanny,
Je t’écris ces quelques lignes pour te dire que je ne peux pas vivre plus longtemps sans toi. Je n’ai de cesse de t’adorer. Pour moi tu es une beauté, et la plus gentille fille que j’aie jamais vue et je t’adore. Oh exquise Fanny, ne me méprise pas de tant t’aimer. J’aurai le cœur brisé si tu m’abandonnes. Peux-tu me retrouver lundi soir, quand je t’emmènerai au Star Music Hall. Je hais ce Bill Robinson, qui te court toujours après et j’ai l’intention de le cravacher quand je le verrai. Je serai ravi de recevoir de tes nouvelles sans tarder. Ne laisse pas ma demande en suspens. Réponds par la poste suivante à ton tendre
William Weightman.
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My Dearest Fanny,
Je vous écris ces quelques lignes pour vous dire que je ne peux pas vivre plus longtemps sans vous. Je vous adore toujours. Je pense que vous êtes une beauté et la jeune fille plus belle que j’ai jamais vu et je vous adore. Oh exquise Fanny, ne me méprise pas pour vous aimer si bien. Je serai le cœur brisé si vous m’abandonnez. Pouvez-vous me rencontrer, lundi soir, quand je vais vous prendre au Music Hall étoile. Je déteste que Bill Robinson, qui est suspendu après que vous et j’ai l’intention de lui cravacher quand je le vois. Je serai ravi de vous entendre à la fois. Ne laissez pas mon costume soit stérile. Réponse prochain post pour
votre amour
William Weightman
Pourvu que Fanny ne le laisse pas faire fanny, à ce dear WW !
S’ils ne ratent pas la correspondance, ils seront envouter,au Music Hall par « Caprice, c’est Fanny »….Quant au dragueur , il se retrouvera soiltaire jusqu’au vendredi parce que ce Robinson crut Zoë….Quelle histoire, ben mon coco! Qui fut banané, en définitive?
voilà un monsieur qui fait de jolies lettres d’amour avec une écriture soignée et imagée. Comme on dit, il met du piquant dans ses idées de poete abandonné;
y a pas qu’à la petanque qu’on peu « baiser fanny »…si on s’en donne les moyens.
Brontë divine! Les codes de l’amour peuvent être indéchiffrable, Fanny devait être rouge d’application à décoder, trop pour piquer un fard, l’émoi devait s’enfuir.
Au bout du conte, qui n’est pas très engageant, le caprice , c’était Fanny, fané, fini. Pour atteindre un cœur, les robins ne sont pas des flèches, eux . Il avait raison d’être jamoux , WW était en drague un weight watcher….En gros!
la d@me : elle est chouette cette petite lettre… « Non rébus tente » pour paraphraser un commentateur présent dans la salle ;o)))
patrick verroust : z’avez vu…. Je crois que vous allez me jalouser ce bon mot fait à le d@me ci plus haut ;o)))
alex-6 : « baiser fanny »… Quelle jolie expression tout de même.
patrick verroust : Brontë divine… Vous me le volez !