Un certain Philippe Favier.
« Mais avant toute chose, je crois être un dessinateur plus qu’un peintre. J’aime le contact du crayon ou de la plume sur le papier, de la pointe sur le métal ou sur le verre, le mou du pinceau dans ce qu’il transmet de déséquilibre, de vertige, m’indispose quelquefois… » dit Philippe Favier dans une interview.
Découvert récemment par votre humble serviteur grâce à un lien d’un agent secret basé en France, je suis tombé sous le charme de ces collages comme de ceux de Joseph Cornell par le passé ou de certains photomontages surréalistes.
Ne me demandez pas si je suis jamou (sic) de son château du XVIIème s.
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Luc,
Favier ne pouvait que vous plaire. Bricoleur, un tantinet fétichiste, il affirme une indépendance de pensée et de création Son œuvre dépasse Lewis Caroll, son bestiaire étrange et bizarre, le surréalisme et le dadaïsme. Il n’y a pas chez lui un autre côté du miroir, il se situe nul part et partout dans des espaces connus des initiés qui empruntent le chemin. Son humour est au delà du caustique, il est l’oxygène de l’œuvre. Il permet de dépasser la vacuité des choses, « les hallucinations » que nous nommons « réalités » sont épinglés et suspendues dans des galaxies mouvantes et infiniment poétiques….Merci , Luc
Luc,
Je ne supporte plu lortografe la saint Taxe la proximassion des sous titres : ousskon peut faire quoi pour les mettre raccord avec l’image qui, là, est passionnante.
Ça me bousille le plaisir de la découverte de ce Moulins Art.
Non je ne supprime pas les sous titres lire texte et image font partie du jeu.
Na.
Verjatte édenté commençait ses plaidoiries par. un « ach chi vous faviez…. »