Ind’i’pendanc(s)e tcha-tcha!
…Nous dûmes partir en catastrophe ce jour là!
moi avec ma tante, en voiture vers l’Angola.
Mes parents rejoignaient Matadi avec deux francs six sous en poche, et une machette sous l’oreiller.
Le bateau venait d’appareiller.
La semaine fut longue en attendant le suivant qui devait les rapatrier.
Le « quartier des villas » quasi désert était méthodiquement pillé par les indépendantistes.
Cinq longs jours