Le parti pris des choses.
Peu décidé à passer l’éponge sur Francis (oui, je sais, je l’ai déjà faite celle là…)
je décide de vous en remettre une dernière couche avec…
« L’orange ».
… Après ça, je fais ce que devrait faire plus d’un chef d’état,
et m’adonne aux « plaisirs de la porte ».
Dédicace: Je remercie mon collègue et néanmoins ami, A. Van Caulaert, qui à la faveur d’un de ces déjeuners pris sur le pouce, entre deux cours, m’a fait redécouvrir ces petites choses qui nous font avancer un peu plus chaque jour.
Tu as gagné, je cours me l’acheter ! Et j’arrête d’écrire…
Il a eu un geste déplacé, je crois que nous allons avoir des pépins…
Il fallait lire : « Il a eu un zeste déplacé, je crois que nous allons avoir des pépins », bien sûr.
« l’éponge n’est que muscles et se remplit de vent »
ça me rappelle certains mâles de ma connaissance ;-D
@L°@L°: bref, dit Pépin, arriver à sa cheville est un but à atteindre, s’y employer est oeuvre de salubrité publique: l’azerty te veux! voeux sur la phrase et les mots!
@M@d@me de K.: tout en partageant votre avis, je vous trouve bien cynique, madame, ce matin! sont-ce des cas de votre garde rapprochée? je souhaite que non.
(j’ai coupé court à mon envie de mauvais jeux de mots: « sont-ce deux cas de votre conne essence? je souhaite guenon! »… Tu pourrais me remercier ;O)
@L°@L°, James, quelles nouvelles ? : Un Jean-Christophe Azerty en vaut deux, mais moi ?
(Ta parenthèse à Mâme K est géniale)
Le pro aime. Moi aussi.
@L°: en le tapant tout à l’heure, je l’avais sur le bout de la touche… ‘rcki pour M.eud K., j’espère qu’elle aimera…
@Christophe Borhen: au quai! on est au moins quatre maintenant. On pourrait faire un tarot, à moins qu’il n’y ait un appel au roi avec une cinquième personne.
T’as vu la gouache qu’en a fait Braque….sans parti pris sur (Ponge-Seghers ed. par P. Sollers)
Je te
« La Métamorphose » (écrit de sa main) :
Tu peux tordre au pied des tiges
L’élastique de ton cœur
Ce n’est pas comme chenille
Que tu connaîtras les fleurs
Quand s’annonce à plus d’un signe
Ta ruée vers le bonheur
Il frémit et d’un seul bond
Rejoignit les papillons » F.P. avril 1944
C’est assez dans ton style…Non ?
« Ta ruée vers le bonheur….
Désolée pour le La
@Syl & bis: rhâââ!!!
encore!!!…
C’est beau N.. de D…!
m’en ferai un billet, mais d’abord laisser mûrir, puis faire frémir à petit feu, retirer au premier bouillon et servir sur lit de cressonette déglacé au vin blanc avec de la sauge.
(J’ai pris la liberté de corriger, j’espère que tu ne m’en veux pas… )
« Tenir dans ses bras une porte »
C’est mieux que de la prendre dans la face
Ou que d’attendre midi pour l’ouvrir…
Je passais par là, c’est joli par ici
@Zaile: bienvenue dans cette humble demeure, je prends la porte et l’emporte, d’ici là portez-vous bien.
Pas du tout c’est « Ta ruée »
@Syl.:… oumpfff!!!
ça me rappelle:
Un papillon volage près d’une pie passa,
mais la pie fut fort sage et n’happa pas l’appat.
Quel bel appat que la pie n’happa pas!
Lorsque nous poursuivons les objets extérieurs, nous perdons la raison.
Aux traces sur la couverture, et puis aux petits papiers glissés entre les pages, on sent le livre qui a vécu. C’est beau les marques du temps et des lectures sur ce genre d’objet.
@@l@in: faut pas! pillons!
@Ephedr@: lire « l’éloge de l’ombre », l’épisode sur les ustensiles de cuisine, en bois.
L’éloge de l’ombre: en matière d’esthétique, un de mes livres de chevet, avec La chambre claire.
@Ephedra: vous ne m’avez pas encore déçu, jusqu’à présent!O)