Elles en connaissent un rayon.
Au travers des stores je l’observe, cette libellule,
prenant son envol.
Faire siennes les demoiselles derrière les jalousies.
Au travers des stores je l’observe, cette libellule,
prenant son envol.
Faire siennes les demoiselles derrière les jalousies.
Les jalousies ! Un mot extraordinaire autour duquel je tourne depuis un bout de temps. Dites-moi Luc, ces jalousies-là sont-elles celles derrière lesquelles on trouvait hier déjà une mante religieuse ?
@ (perspicace) Frederique M: forcément, cela m’a inspiré…
Quant aux jalousies je ne les supporte qu’à l’état de lamelles servant à diaphragmer la lumière trop intense des siestes pas toujours sages.O)
Mais l’autre de la sieste pas toujours sage n’est-il pas jaloux de la jalousie ?
la dame pose une question pertinente.
Tiens, tu n’as pas écrit les « dames » mais les « demoiselles ». Forcément du coup, il doit y avoir moins de « jalousie » :o)
Il faut reconnaître la supériorité des jalousies sur les persiennes même persanes et des demoiselles sur les libellules, quoique ça se discute.
@la dame: l’autre n’a qu’à penser à ces deux vers.
« La sombre jalousie, au teint pâle et livide,
Suit d’un pas chancelant le soupçon qui la guide ».
(Voltaire).
@le rayon (vert): la dame en connait un bout sans doute…
@Brigitte Mulet:… Parce que les “demoiselles” sont des libellules.http://fr.wikipedia.org/wiki/Zygoptera
Je ferai prochainement un billet sur les « demoiselles bleues » qui, elles, sont des crevettes rencontrées dans un resto.O)
@Zoë: voï-voï, voui-voui!… Le débat est lancé.
On peut aussi aimer son père à Sienne malgré la jalousie des demoiselles.
@madame de K: un zeste de trop et les demoiselles l’ont « ta mère! »;O)
C’est la demoiselle
Marchant sur le ruisseau
Qui t’a rendu bien malade.
Elle t’a pris ton ombre, ton rire, ta joie.
Et ne reviendra pas.
Dans le grand silence.
Des souvenirs perdus.
Tu trembles et tu t’agites.
Tu veux ton enfance, ton ombre, ta voix.
Elles ne reviendront pas.
C’est la demoiselle.
Marchant sur le ruisseau.
qui t’a rendu bien malade.
elle t’a pris ton ombre, ton rire, ta voix.
Mais qui te les rendra?
@demoiselle et jalousie: dis, il est beau ce texte… C’est de qui?
Ah trop tard!
trouvé!
hé ben il est quand même bien!…
Connaissais pas du tout…
Pas dans mon répertoire…
Comme quoi on apprend à tout age;o)