Des ours polaires dubitatifs devant un blaireau…
J’attaque? J’attaque pas?
C’est merveilleux!
Et moi d’être passée par ici.
Quelque part c’est merveilleux aussi.
Magnifique. Je n’ai pas identifié tous les objets sur la tablette. L’ours allongé est encore disponible ? (J’espère le séduire avec un pot de miel de fleurs de poireau.)
Sinon avant de taker ze door, je te rappelle que bien malachite ne profite jamais.
(Elle vient de ton Congo celle-ci ?)
Je crois comprendre que tu pars là-bas aujourd’hui, prends soin de toi…
@Annick: quelle merveilleuse commentatrice tu ferais aussi, si ton temps, sur la toile, n’était pas exclusivement consacré au boulot!
quant au blaireau il continue de faire la nique à nos amis…
Et hop!
@L°: voui, je vous l’emballe? (c’est presque Hitchcockien, ça, le miel de fleurs de poireau!…) la malachite vient de là bas, goutte minérale qui rappelle, en plus petit, la forme de baleine de la pierre ponce.
Sinon, en bas des ours à gauche c’est une boîte à seringue dans laquelle se reflète la pierre et à droite les vieilles eaux de toilette et after chèvre « Old Spice » qui avaient des petits relents « talc-vanille » pendant (toute) la journée…
L’eau de toilette de mon père.
Il s’agit, on l’aura compris, d’une petite installation dans ma salle de bain.
Sinon, jour J -2…
la dame on
août 4th, 2009
… et l’installation s’appelle banquise ! et le truc sous verre, à gauche ? un verre de lampe tempête ?
Alors !
Après la dactylo, voici que tu nous reformules la dactyle de l’Ulysse de Joyce : Malachie Mulligan et sa métaphore filée sur le fil du rasoir (le bol, l’a-mer, le tire-jus).
Au tout début.
:))
Je ne suis pas certaine de pouvoir laisser un mot ici sans prendre un foutu gage ! Et quoi ? (sis)ter avertie en vaut deux (je sors, mais juste avant, je vous souhaite de bonnes vacances Luc, et n’oubliez pas les quatr’heure ! Bon là je file pfuit….)
Luc tu ne partiras pas ! à moins de nous promettre de nous ramener une brassée de soleil moite et de sieste obligatoire, d’ombre épicée et de ressac vaporeux, de poussière rouge et de sourire en noir et blanc.
@la dame: curieuse!… à mon retour, tu sauras.O)…
(Mais pas mal pour la banquise!)
@augenblick: Joyce!… J’en rougis d’élever le débat à un tel niveau…
Mon inconscient m’a encore joué des tours!
re@augenblick: ben voui.°)
@Frederique M: dans un jour de grande bonté, pas de gage aujourd’hui…
(C’est peut être le parfum d’enfance qui se rapproche qui fait ça.)
@madame de K:… De vrais nouveaux futurs souvenirs, promis!O)
Des ours polaires dubitatifs devant un blaireau…
J’attaque? J’attaque pas?
C’est merveilleux!
Et moi d’être passée par ici.
Quelque part c’est merveilleux aussi.
Et hop!
Magnifique. Je n’ai pas identifié tous les objets sur la tablette. L’ours allongé est encore disponible ? (J’espère le séduire avec un pot de miel de fleurs de poireau.)
Sinon avant de taker ze door, je te rappelle que bien malachite ne profite jamais.
(Elle vient de ton Congo celle-ci ?)
Je crois comprendre que tu pars là-bas aujourd’hui, prends soin de toi…
@Annick: quelle merveilleuse commentatrice tu ferais aussi, si ton temps, sur la toile, n’était pas exclusivement consacré au boulot!
quant au blaireau il continue de faire la nique à nos amis…
Et hop!
@L°: voui, je vous l’emballe? (c’est presque Hitchcockien, ça, le miel de fleurs de poireau!…) la malachite vient de là bas, goutte minérale qui rappelle, en plus petit, la forme de baleine de la pierre ponce.
Sinon, en bas des ours à gauche c’est une boîte à seringue dans laquelle se reflète la pierre et à droite les vieilles eaux de toilette et after chèvre « Old Spice » qui avaient des petits relents « talc-vanille » pendant (toute) la journée…
L’eau de toilette de mon père.
Il s’agit, on l’aura compris, d’une petite installation dans ma salle de bain.
Sinon, jour J -2…
… et l’installation s’appelle banquise ! et le truc sous verre, à gauche ? un verre de lampe tempête ?
Alors !
Après la dactylo, voici que tu nous reformules la dactyle de l’Ulysse de Joyce : Malachie Mulligan et sa métaphore filée sur le fil du rasoir (le bol, l’a-mer, le tire-jus).
Au tout début.
:))
sa métaphore filée sur le rasoir pardon
Je ne suis pas certaine de pouvoir laisser un mot ici sans prendre un foutu gage ! Et quoi ? (sis)ter avertie en vaut deux (je sors, mais juste avant, je vous souhaite de bonnes vacances Luc, et n’oubliez pas les quatr’heure ! Bon là je file pfuit….)
Luc tu ne partiras pas ! à moins de nous promettre de nous ramener une brassée de soleil moite et de sieste obligatoire, d’ombre épicée et de ressac vaporeux, de poussière rouge et de sourire en noir et blanc.
@la dame: curieuse!… à mon retour, tu sauras.O)…
(Mais pas mal pour la banquise!)
@augenblick: Joyce!… J’en rougis d’élever le débat à un tel niveau…
Mon inconscient m’a encore joué des tours!
re@augenblick: ben voui.°)
@Frederique M: dans un jour de grande bonté, pas de gage aujourd’hui…
(C’est peut être le parfum d’enfance qui se rapproche qui fait ça.)
@madame de K:… De vrais nouveaux futurs souvenirs, promis!O)
formidable photo, toute une histoire… !
@Julien: j’en vois au moins deux qui sont attentifs!.O)