On ne se refait pas.
Je trame la polychromie du jardin du dispensaire
au travers de la moustiquaire…
A la manière d’un faux super huit.
Je trame la polychromie du jardin du dispensaire
au travers de la moustiquaire…
A la manière d’un faux super huit.
Décidément, ce linge n’en a jamais fini de sécher 😉 !
Etrange… ce que de simples images peuvent agiter au fond des tripes.
Emouvant voyage !
tu trames pour faire du super huit comme on mettait des cartons dans les rayons de nos bicyclettes pour faire des mobylettes ?
@Enfantissages: oui le linge et moi c’est une longue histoire…
Vous repasserez?o)
@Mlle d’enfer(t): je vois que ton nordi ne t’a pas fait de blague cette fois ci!o)… Pour le reste, je t’étonnerai encore, avec de l’hyper-banal.
@Thomas: vous ici!… Merci du compliment.
@zoë: ben oui…
T’as tout compris…
J’chuis taré, hein?!0)
(… Et merci de l’image, je n’arrivais pas à mettre un nom dessus)
On dirait presque une moustiquaire.
Et pas un seul moustique pour monter au filet…
@Ann@ de S@ndre: mais nan! seule Zaile a compris: c’est un terrain de tennis.
@Zaile: merci Zaile (faut « fédérer »:o)
Pourtant je ne suis pas enfant de la balle ! Mais je commence à connaître votre esprit joueur…