Algues et corail ou le rêve de l’if
Cette sirène sur le banc le laissait songeur
et sentant le gulf stream l’envahir
il se prit à se penser corail:
l’if avait toujours rêvé de voir la mer
mais ne savait pas nager
Que faisait Rudyard?
Cette sirène sur le banc le laissait songeur
et sentant le gulf stream l’envahir
il se prit à se penser corail:
l’if avait toujours rêvé de voir la mer
mais ne savait pas nager
Que faisait Rudyard?
Encore ! J’ai une passion névrotique pour les chevelures !
Je découvre sur le tard, donc j’explore.
« Le mari de la coiffeuse » c’était quand même bien.
Oh que oui ! Vive Rochefort !
Si tu arrives à rayer mes lunettes
Si tu arrives à étêter les ifs….
« Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie
Et sans dire un seul mot te remettre à rebâtir,
Ou perdre d’un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir…
Tu seras un homme mon fils ! » R.K.
Plus sérieux…jusqu’à 13 ans je pouvais m’asseoir sur mes cheveux,
Je hurlais quand ma mère les démêlait…à l’école -oui j’y suis passée-
je me faisais une queue de cheval…un boutonneux sur un ta lut neigeux
me l’a soulevée pour voir s’il y avait du crottin…je n’ai pas henni…je lui ai foutu
mon poing dans la gueule…il est tombé sur une luge et a descendu la colline.
Tu seras une femme…ma fille !
ben toi alors!
« Petit homme qui vivait d’espoir a pleuré dans son grand mouchoir
a pleuré tout ce qu’il savait et aussi ce qu’il ignorait… »
…
« saucisson de ch’val! »
Oh non t’imagine après la lip ô suc sion de sa cul hotte de ch.val!
Crotte hein!
ah les chevelures, fascinantes!
monsieur est adepte je vois!…Degas, Toulouse Lautrec, Renoir et Boubat fallait pas nous les montrer!
patience, bientôt une de plus…hé!hé!