« Elle » est partie.
Par un beau matin
revenant de l’enfance
il prit le chemin de l’école
celui de la vie
qui passait derrière le cimetière
celui des illusions perdues
la végétation avait étrangement poussé
les essences n’étaient plus pareilles
et l’arbre,
celui qu’il escaladait,
son arbre avait disparu
laissant ses hautes branches tordues sur la sente.
…
Par vagues
par flots
les sanglots
en amers bouillons
me traversent
ça et là
scories de souvenirs
…
Tu es partie cette nuit
petite respiration haletante
et inquiète
tu t’es tue
S de ton corps dés-habité
moineau
sous le drap
pensées absentes
depuis si longtemps
désincarnées
depuis trop longtemps
Je pense à ton sourire
il me manquait tu sais
fichue maladie
aucun humour.
…
Je raconterai encore
et encore
ton histoire
et plus tard
ou demain
à ce fantôme je dirai
– Hante, je t’attendais.
.
Je suis sans voix
Je pense à vous
Et que vos fantômes
Vous reviennent
Doux
il n’y a pas d’âge pour se sentir orphelin, et rien ne sauve de ça… amitiés
plein de bisous mon ami Luc, je suis avec toi
La partance pour là-bas….. a des fluctuances
trop rudes pour les indigènes d’ici ….
Drôle de brouillard dans l’oeil, on y voit pas grand chose.
Pensées du coeur …
Le coeur gros et les yeux replis de lames…
Tôt.
Isolée le temps d’une chanson,
intence , histoire sans fain.
Unit les âmes qui demeurent fragiles.
A tes côtés.
Pleurer comme il pleut
être près sans y être
être prêt à
écouter la voix qui chante
et qui s’est tue
la voix qui hante
et continue
sa vie
ailleurs, autrement, doucement.
Tendre, l’oreille.
Je ne comprends pas, je ne veux pas comprendre, je ne comprendrai jamais, et puis c’est tout!
Son Luc, tu es brave toi au moins. Et il en faut de la bravoure. Bienvenu chez les affligés! (Saloperie! saloperie! saloperie!)
Pardon hein… devrais pas élever la voix ainsi…
no words enought, but tears
((( )))
Ne pas retenir nos larmes …
et pour toi mon affection.
je ne sais pas quoi dire. Alors je ne dis rien mais je pense beaucoup.. à toi. Un sourire.
Ensemence tes silences dans l’éparpillement infini du Grand Silence .
Ne te désunis pas de la membrane qui fut ta vie .
Va ton chemin dans la dorure qu’aura laissée , intacte , ta trace .
Et où qu’on soit
On n’est jamais qu’au sein de sa mère…
Un peu d’amour ne fera de mal à personne.
…
un baiser silencieux
Mon (son) Luc, je ne sais pas faire de baisers à un mec à la voix caverneuse. Mais je vais apprendre cette nuit. Tout le monde parle de pleurer, que se passe-t-il? (Comme un fait exprès j’avais deux billets en route pour ma mienne maman, je les remplace par autre chose. Un colère.)
Tu sais, revenir de l’enfance est impossible, ça n’est même pas souhaitable. Je plains ceux qui prétendent le contraire. Ils ne sont pas artistes, ils ne sont rien à vrai dire. Donc, continue de parcourir ces chemins de l’école. Il y a toujours des buissons sur ces routes, et des arbres. Ah t’es fort! t’es fort! (J’espère? Sois-le! Mérite cette saloperie! D’autres n’y voient que la vie, je les hais ceux-ci!)
@ Deplu : l’enfance n’est pas un voyage, ni une étape, c’est un bagage qu’on emmène avec soi tout au long du … voyage au long « court »…
à@ la d@me : Oui, figurez-vous que dans l’émotion, j’ai écrit exactement le contraire de ce que je voulais dire qui était donc : impossible pour un artiste de ne pas vivre avec, et par, son enfance. C’est pour ainsi dire le moteur et le véhicule qui nous transporte vers cet âge improbable dit « adulte ». Cela va de soi sans doute mais pas pour tout le monde, je pense à ceux que se cache soigneusement et pour toujours cette évidence…
@tous : Merc(k)i… Merc(k)i…
Je reviens tutd’zuittt’…
C’est gentil tout plein et-pi-ouala.
Les mots me manquent
ou plutôt non…
Mais…
Je pense à vous.
Respect
j’ ai mis un,peu de temps à retrouver l’adresse de ton blog
mais ce clip photo avec Barbara est super comme ton texte qui le précède
la terre d’ocre comme couleur va bien avec ce début d’automne
@kouki : 100 voix c’est déjà ça ! ;o)
@planeth : orphelin est le mot… Bizarre hein ?
@Madame de K : n’en a jamais trop.
@silvanie : les valises sont prêtes.
@Sibylle : merc(k)i de ton pas sage.
@la d@me : pour l’instant les murmures se mêlent
@Depluloin : j’espère que tu as essuyé tes pieds avant d’entrer ;o)
@mime : merc(k)i mime.
@Isabelle C. : en reste-t-il encore ?
@aléna : ‘rc(k)i.
@Lebrac : c’est joli… J’y reviendrai volontier dans le calme.
@Palou&Daniel : ‘erc(k)i du passage aussi…la bise.
@Zaile : j’accepte.
@Depluloin : manquerait plus que tu me b… Heu ! que tu m’embrasses !!! rohh lui là ! ch’uis sûr qu’il bave !
@la d@me : un bagage oui ! parfaitement !
@Depluloin : quoi ? tu veux encore me … Roohh !!!
luc on septembre 16th, 2010 Modifier
@tous : je t’ai reconnu ! c’est moi !
@Chr. Borhen : merc(k)i .
@zoë : merc(k)i aukki.
@ALEX : pas grave… Et puis il en fallait une autre que Nantes ;o)
Luc chéri, toi qui es le roi des grands enfants, peut-être sais-tu pourquoi les mots semblent s’étrécir quand je les veux consolateurs? Tous petits, qu’ils deviennent, et seuls mes bras me paraissent suffisamment grands pour t’y tenir le temps de notre enfance toute éternelle. T’aime fort.
Après toutes ces années « d’oubli », elle est à nouveau « Elle » !
Les soeurs sont à nouveau ensemble, et ce doit être notre réconfort.
Bien qu’une maman reste à jamais dans notre coeur et notre chair!
Avec toute notre affection,
L’enfance , cette larme perdue qui ne cesse de pleurer ….
Silence
pensées à toi
à vous
aux images
Silence
@mlle d’enfer(t) : on se laisserait faire à moins… Merc(k)i.
@Alain et Rosy : les trois soeurs sont de nouveau ensemble et ouvrent un grand restaurant… L. à la décoration et à l’accueil, G. aux plats de résistance et entrée et O. aux desserts et entrées.
Merc(k)i de votre passage à tous deux.
@Lebrac : … Qui peut nous dire quand ça fini, qui peux nous dire…
@stef : du silence ? je suis preneur quand il est de cette qualité.
Ben…
Je t’embrasse Luc.
Oui, racontez encore, avec votre tendresse et votre humour. Toutes mes pensées…
un arbre des racines, et un ombrage de souvenirs . Tu t’étales dans l’ombre douce, dans l’herbe tendre de ton enfance. Mes pensées, maitre Luc
T’es là? Ça va? … Pense souvent à toi, t’sais! … Ke tu fais? La vie quotidienne? …
On dit que les mots sont vains, moi je les préfère vin, afin qu’à leur aune on puise l’ivresse de la vie qui continue. Des bises, Luc.
Tu as remarqué mon Luc? La vie continue – sur le blog par exemple. Alors qu’on voudrait que tout s’arrête au moins un moment. Mais non. Je suis le premier à en raconter ici ou là mais je pense toujours à cette horreur : la vie ne s’arrête pas, pour personne. Dans quel monde… dans quel monde… (Bon, c’est juste une réflexion. Je te baise – puisque tu y tiens tant! Mouaaaaaahhhh!!)
@mon chien aussi : bah oui !
@Frédérique M : ‘erc(k)i.
@Yola : faut du temps pour reprendre le fil de l’insouciance.o)
@christophe : merc(k)i de ces pensées, je garde.
@Depluloin : j’ai plus d’café et la superette est fermée !
@Med’celine : merc(k)i de ton passage par ici… Du vin ? c’est une bonne idée ça ! ;o)
@Depluloin : rrrooohhh !!! En plus elle est toute mouillée ta bise !!!
sale type!… T’es chié quand même !!!
deux ans déjà !
🙁
pour mon père ça fera deux ans en novembre