Les mouettes sont des castors comme tout le monde. (Ne me demandez pas ce que veut dire ce titre, je n’en sais rien moi-même!)
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Les mouettes ne s’emmerdent jamais le dimanche
quand elles en ont marre elles jouent à bouée
et embêtent les voiliers qui passent
traçant un chemin fantaisiste vers la côte,
ou alors, elle jouent aussi à la Cigale…
(Philippe toi tu te mettras là
et Nestor à gauche…
Hervé tu fais la cigale enrouée,
Patrick ! Mieux que ça la « cigale enjoleuse » !
Gertrude, tu n’es pas attentive !)
A la Cigale ? Quand ça ? Tu m’prends un billet ?
(l’est beau celui là, surtout vu des Alpes helvètes enneigées cette nuit)
maintenant que je double clic en experte, la foto du bas, c’est du Monet courant Japon !
Mert! J’en ai eues que deux dis donc! Pas facile! J’essaie encore une fois! Si, si!
(C’est curieux, je te voyais plus… moins… Enfin, t’as mis ton papeau comme je t’avais dit. Et pourquoi tu te mets en plein milieu de l’autoroute pour peinder?)
Euh… ai oublié : j’adore le titre. Quoi la sieste? rôoohh!!
Sais pas pourquoi mais « jouer à bouée » me fait hurler de rire !!!!!!!!!
Mert, c’est excellent et beau, Luc, bravo !
1.
kouki : quoi !? encore en vacances à étudier le bris de coccyx ?… Fais ‘ttention tu sais !
2.
la d@me :grâce à luc on double-clic plus vite que son ombre !!! ça c’est fait !
3.
Depluloin : non, all » bougent hein ?… En plus elles ch… Sur la toile je ne te dis pas !… Mais c’est pas moi tu sais… Moi je ne sais pas dessiner dans l’absolu, ni peindu… Faut qu’j’apprennes
4.
Depluloin : mais non pas dodo !…
Maintenant c’est le quatre heures…
Y a du gâteua au chocolat et du nesquick…
Mmmmh ! A bon ! T’en veux ?
5.
Isabelle C. : parfaitement ! jouer à bouée, t’as déjà essayé ?… C’est super… En plus c’est vrai qu’elles étaient en file indienne sur l’eau, on pouvait aisément les confondre avecque… .o)
Mais, Gaston, sont-ce des mouettes rieuses ? ouich, ce sont.
Donc, elles rient …
… au lait, ialto, et ri bouée, bien sûr !
Non, rien… c’est la vieille d@me qui me fait rire! L’es sympa! … Bon, pas le tout! Après les mouettes tu sors le Chandon? Pé…riri… gnon? … Oui, m’en vais!
Au secours, le grand âge me court après. j’avais cru commenter et non, rien! Luc, tu me joues des tours ou quoi? Les mouettes ? Ah oui, celles qui ricanent sans pitié
Génial, j’adore. Tu fais dans les titres à la Katherine Pancol maintenant ? :o)
(Les Ecureuils de Central Park sont tristes le lundi)
Ou alors c’est un hommage Sartro-Beauvoirien qui m’a échappé ? :o))
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la d@me : bouche bée je suis ! trop fort !
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Depluloin : tu dors encore ?
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zoë : mais j’ai rien fait !!!?… A mon avis c’est pas du thé dans ta tasse… mmmh ?… Ne ments pas à son luc… Regarde-moi dans les gnyeux !
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Anna de Sandre : Pancol n’a rien inventé ;o)… J’ai toujours adoré les longs titres anecdotiques style « Les béatitudes bestiales de Balthazar B. » ou encore « W ou le souvenir d’enfance »
C’est que ce texte n’est composé que de beaux titres comme « Les mouettes ne s’emmerdent jamais le dimanche », « Va jouer à bouée », « Gertrude ou l’incertitude »… Ah t’es fort! tout le monde le dit.
Bon, je me suis entraîné toute la nuit, je te fais la mouette enjôleuse : Yerk Yerk. Pas mal Non?
@Depluloin: le cri du cormoran le soir au dessus des jonques… .o)
(yerk ! yerk !)
et des goélands ? Jonathan le goéland, tu l’as vu aussi ? Il encourageait le vol de ses congénères pareil que toi celui de tes mouette-mouettes ! 😉 (tu as mis ton chapeau sous verre après ?)
bonjour !
@Enid : pas des goélands ! des mouettes !… Et pi d’abord ce Jonathan n’était certainement pas un pélican agé de dix-huit ans comme celui de Desnos ;o)
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Le pélican
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Le capitaine Jonathan,
Étant âgé de dix-huit ans,
Capture un jour un pélican
Dans une île d’Extrême-Orient.
Le pélican de Jonathan,
Au matin, pond un œuf tout blanc
Et il sort un pélican
Lui ressemblant étonnamment.
Et ce deuxième pélican
Pond à son tour, un œuf tout blanc
D’où sort, inévitablement,
Un autre qui en fait autant.
Cela peut durer pendant très longtemps
Si l’on ne fait pas d’omelette avant.
Robert Desnos, (1900-1945)
…
Merc(k)i de ton passage ;o)
bien dit ! (le Desnos) et je connaissais pas 😉 Ce qui est intéressant c’est l’insistance du « tout blanc »…
mais quand même, je reviens sur Jonathan qui est le goéland :
JONATHAN LIVINGSTON SEAGULL –
Richard Bach, 1970
« Jonathan Livingston est un goéland passionné par le vol. Sans cesse il essaie de voler plus haut que les autres, plus vite aussi, dans l’unique but d’améliorer ce qu’il sait faire. Cependant ses parents, ainsi que les autres membres du clan n’apprécient guère ses prouesses de voltige et souhaitent que Jonathan se comporte comme tout bon goéland qui se respecte, càd. Qu’il ne vole plus que pour chasser et pour se déplacer. Ils ne comprennent pas que pour Jonathan le vol puisse avant tout être un plaisir. Mais Jonathan sait bien qu’en volant toujours plus haut, toujours plus vite, il sait qu’il découvrira un sens plus noble à la vie. Effrayés par son audace, ses semblables le rejettent. En effet vu qu’il ne veut pas vivre comme ses pairs, les goélands s’assemblent en grand conseil et ils accusent Jonathan de sa totale absence du sens des responsabilités et l’obligent à l’exil. En s’envolant, loin au-delà de ceux de se clan, Jonathan va heureusement rencontrer de nouveaux amis qui eux le comprennent parfaitement. Il va ainsi découvrir comment maîtriser ses peurs et connaître ses limites et se vouera pleinement dans l’enseignement du vol.
Mais son but ultime est de retourner dans sa communauté d’origine afin de libérer ses congénères de leur routines en leur montrant qu’il peut y a voir d’autres choses à réaliser dans la vie.
Richard Bach n’est autre que l’arrière petit-fils du célèbre compositeur Johann Sebastian Bach et, lorsqu’il écrit la nouvelle Jonathan Livingston le goéland, est pilote réserviste dans l’armée de l’air américaine. L’aviation est sa véritable passion et marquera fortement son œuvre bibliographique en faisant du vol du métaphore philosophique. Ici, pour Jonathan Livingston, le vol est à la fois une façon de se démarquer et de s’exprimer, un art dans lequel il peut exceller, et cela dans le but de se libérer pour trouver le bonheur intérieur et développer son identité individuelle. Et pour Jonathan Livingston le parcours de sa libération est celui, très philosophique, de la sortie de la caverne telle qu’énoncée dans la célèbre allégorie du Livre VII de La République de Platon.
La nouvelle est courte et simple, écrite dans un langage universel dans le but d’atteindre un public de tout âge. Et cela marche parfaitement pour ce conte philosophique qui pourtant aux premiers abords ressemble plus à un conte pour enfants. On sent directement où l’auteur veut en venir sans toutefois gâcher le plaisir, car même si attendu et prévu, le développement de l’histoire reste toujours aussi fort. Certains éléments de l’histoire sont cependant un peu plus maladroits, notamment tout le côté mystique autour de la formation de Jonathan Livingston.
Jonathan Livingston le goéland a été adapté au cinéma en 1973 sous la direction du réalisateur américain Hall Bartlett. »
Bon, c’est un « commentaire » un peu long, mais ça fait bien pendant au Capitaine de Desnos. oh si tu ne l’as jamais lu, c’est à.
…
Pas(sage) d’quoi !
Idelette
@Enid : RrrooohhhHH le film,
RrrooohhhHH le livre,
RrrooohhhHH la musique de l’autre…
Peux plus…
Vraiment toute une époque…
J’ai l’impression de chercher un vieux joint et de le rallumer
mais elles sont où ces fichues allumettes ?…
Personne n’a un briquet ?
Help !
I need somebody help…
‘tain v’la qu’ça r’commence !;o)