« Amours en cage » ou quand les groseilles du Cap se mettent à la lanterne…
L’acidité naturelle de la physalis ou « amours en cage » se rapprochait de loin des groseilles d’Europe.
La texture de sa chair contrastait avec cette enveloppe lisse et jaune-orangé enfouie au fond de son calice végétal…
Mais je n’avais pas le temps de rêver aux possibilités infiniment autres que ce fruit distillait en moi,
le cocon ouvert faisant découvrir cette curieuse perle.
Il fallait faire vite,
débarrasser les fruits de leurs gangues et terminer la barquette achetée tôt sur le marché.
Ma mère concoctait un pâte à biscuit croquante et exquise qu’elle pré-cuisait au four puis sur une crème pâtissière, laquelle était entièrement recouverte de « groseilles du Cap », elle passait la tarte au four, quelques minutes encore, un léger glacis de citron achevant ce quatre heure impérial.
Je ne sais de la perspective des guirlandes avec les cocons vides ou de la tarte dont on se régalait ce que je préférais, déçu déjà que Gains bourg ait raté le coche sur ce coup là!
J’aime quand tu parles sur ce ton !
C’est une fleur, ce n’est pas un thon!
pfff! Loïs!
dis,
c’est tout propre chez toi,
me suis essuyé les pieds en entrant tu sais.
Je connais l’amour en cage c’est très bon :o)
Vi j’ai changé de blog, et j’écoute tes conseils avisés pour la bannière car je suis une brelle à ce niveau !
J’adore le mot « brelle », on est tout démuni avec ce terme.
Quant à la bannière je fais le coup du miroir; réfléchir. ;°)
Miroir, mon beau miroir, dis-moi qui est la plus brelle ?
Pas de doute! Loïs est de retour!