Longue distance.
Le tableau de bord était bourré de petites lumières clignotantes
avec de jolies couleurs et des petits bruits…
Munis de son masque
pour l’oxygène
les instructions de la tour de contrôle
dans ses écouteurs,
les commandes à portée de main
il assure le vol longue distance Bruxelles-Yaoundé.
l’altitude est idéale,
le matelas de nuages déroule ses moutons sous l’avion
l’horizon est sublime et le lever du soleil sans fin.
Bardé de tuyaux,
avec un tas de petite poches sur les côtés,
ce sont les vivres,
c’est un héros.
L’hôtesse entre dans le cockpit
et dit à ma mère
qu’il faut le laisser se reposer, maintenant;
le médecin aura du retard
Nous sortons
et maman me dit que
le super Boing de papa
va bientôt arriver.
Je fais semblant de la croire,
elle pleure.…
(Je me suis fait taguer par Florence et maintenant je dois dire sept choses VRAIES sur moi…
Comptez pas sur moi pour taguer sept autres personnes,
je suis bien élevé, moi !
(Pfff !) etc.)
Plus que trois !
Si-si !!!
PREUMSSSSSSSSS !!!
C’est beau dis donc! C’est toi qui l’a écrit? Non? Ah je me disais aussi. (Mais j’ai pas bien compris la fin. Que fait toute la famille dans le crocpit? Tu m’expliqueras?)
Très beau billet, fort bien écrit et magnifiquement illustré. (D’ailleurs, je te pique la photo où tu décolles de la balançoire!! Mouaaaaaaaaaaahhh!!)
Cette histoire, en rupture de ton avec ce qui se publie, ici, habituellement est touchante, cruelle et tendre à la fois. Cet enfant qui joue à l’avion, laisse son imaginaire planer pour fuir le réel, fait l’apprentissage de la mort. beaucoup ont connu cet enfant. La dureté de l’histoire est suggérée dans une allégorie légère, écrite avec une élégante désinvolture, un joli touché d’écriture.
Celui-ci, je l’aime particulièrement… !!
Elle pleure.
Moi non plus, je n’ai pas compris la fin. Soyez plus clair s’il vous plait.
Sinon, au premier paragraphe, vous me faites prendre tant de hauteur dans cette clarté si pure, que … je m’installe et de vous savoir près de moi me rassure. Merci
Depluloin : dis, à propos de voler, tu n’aurais pas vu MA loco rouge par hasard… J’la cherche partout !
T’as vu l’avion c’est drôle, où est passée la maison il pleut il pleut bergère lalalère… ;o)
patrick verroust : légèreté désinvolte, j’assume
Pareil que Pluplu… T’as vu l’avion c’est…
Florence o: merc(k)i… J’aime les décalages ;o)
Francis Bismuth : v’oui (petite voix).
Isabelle C. : la nuit, le jour, elle tourne la planète, qu’on en oublie qu’elle est si belle.o)
faire semblant de la croire – c’est ça, l’amour.
La planète tourne? Mais non, c’est le soleil! C’est connu quand même!
(Quelle loco?)
Mais, Sabena tout triste aujourd hui … et ce petit sorti brutalement de l enfance ;(
han kome jème tro komen vou zékrivé sa koa sa déchirre sa rasse je kiffe grav (jé meme u dé larm ki on couler surre mon visaj mé je lé pa montrer sa fé boloss sinn) ♥
C’est très beau, l’imagination de l’enfant qui transforme la chambre d’hôpital en avion (j’ai bien compris, hein?)
on ne devrait pas avoir le droit de raconter des histoires triste un dimanche matin ensoleillé !
Des moutons comme ça : http://thaddee.over-blog.com/article-dessine-moi-un-mouton-80242845.html ?
aléna : faire sans blancs.
Depluloin silence !
la d@me : il s’en remettra… Les pilotes de lignes sont comme ça, etits mais courageux.
sphét : jeu te remerssie 2 thon pas sage. C couette ke tu pass 100 pré veNir
Yola : non-non, c’est ça…. Pas d’inquiétude à avoir ;o)))
madame de K : je ne savais pas que tu passerais… Sinon je n’aurais pas posté ‘videmment !
Thaddée : il manque les boîtes… Combien ?… Je retourne les compter.
Les boites? Vous voulez mettre mes moutons en boite? mais ils paissent…